Les quatre saison de l'Empire. Tome 2, Un printemps à Naples

Par : Vincent Haegele

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  • Nombre de pages268
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions13,9 cm × 19,9 cm × 2,0 cm
  • ISBN979-10-404-0671-6
  • EAN9791040406716
  • Date de parution02/04/2025
  • ÉditeurPassés Composés

Résumé

Ville en ébullition croissant sur les ruines mêmes de l'Antiquité à l'ombre d'un volcan en activité, Naples est à la fin du XVIIIe siècle un phare des Lumières : linguistes, philosophes, médecins et archéologues se pressent dans ce qui est alors la troisième ville la plus peuplée d'Europe. Or, malgré les efforts des souverains du royaume napolitain, Ferdinand IV et Marie-Caroline, pour maintenir leur indépendance face aux ambitions de Napoléon, l'Empereur entend faire en 1806 du royaume de Naples non seulement le laboratoire de sa politique progressiste, mais aussi un terrain d'implantation de familles françaises.
Les Napolitains n'ont pas leur mot à dire, ni sur le choix de leurs institutions, ni sur le découpage administratif qui leur est imposé ; seuls le fatalisme et l'habitude d'être gouvernés par des dynasties étrangères leur permettent de prendre ces changements avec un certain détachement. Mais l'esprit de la Révolution française et de l'Empire peut-il se confronter à une telle cité, au risque de se voir mis devant ses propres contradictions ?
Ville en ébullition croissant sur les ruines mêmes de l'Antiquité à l'ombre d'un volcan en activité, Naples est à la fin du XVIIIe siècle un phare des Lumières : linguistes, philosophes, médecins et archéologues se pressent dans ce qui est alors la troisième ville la plus peuplée d'Europe. Or, malgré les efforts des souverains du royaume napolitain, Ferdinand IV et Marie-Caroline, pour maintenir leur indépendance face aux ambitions de Napoléon, l'Empereur entend faire en 1806 du royaume de Naples non seulement le laboratoire de sa politique progressiste, mais aussi un terrain d'implantation de familles françaises.
Les Napolitains n'ont pas leur mot à dire, ni sur le choix de leurs institutions, ni sur le découpage administratif qui leur est imposé ; seuls le fatalisme et l'habitude d'être gouvernés par des dynasties étrangères leur permettent de prendre ces changements avec un certain détachement. Mais l'esprit de la Révolution française et de l'Empire peut-il se confronter à une telle cité, au risque de se voir mis devant ses propres contradictions ?