Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Chronique romanesque d'un trou perdu de la Champagne la plus pauvre, au début des années 60, évoqué à travers le regard d'une bande de gamins plutôt...
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Livré chez vous entre le 16 octobre et le 19 octobre
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Résumé
Chronique romanesque d'un trou perdu de la Champagne la plus pauvre, au début des années 60, évoqué à travers le regard d'une bande de gamins plutôt délurés. L'énorme curiosité qui les démange - celle que commande (et qui commande) le vie - les pousse à regarder un peu plus loin qu'il n'est permis... et à découvrir des gestes, des désirs, des noirceurs qui ne sont pas de leur âge. A moins que le sortir d'enfance ne soit, justement, cette transgression, violence toujours, qui nous montre enfin le monde tel qu'il est, nous révèle les règles du grand jeu à venir - et que l'existence promise à ceux qui grandissent n'est pas une semaine des quatre jeudis.
Alain Lorne ne triche pas, ne pleure pas sur cette époque disparue hier - et qui a encore, dans ces parages, un drôle de goût d'avant-guerre. Sans chichis, sans fausse poésie, dans une écriture drue qui en surprendra plus d'un, il lui tire le portrait comme faisaient ces photographes ambulants de naguère : avec netteté et un sens du détail qui toujours fait mouche - sans oublier telle lumière venue d'on ne sait où, et qui a la couleur de l'éternité.
Les Quatre jeudis est le deuxième roman d'Alain Lorne. Le premier, La Route brûlée (Phébus, 1996), avait reçu un accueil critique mieux qu'encourageant : " Un livre à couper le souffle... Des bonheurs d'écriture à chaque page. " (Gilles Perrault)
Chronique romanesque d'un trou perdu de la Champagne la plus pauvre, au début des années 1960, évoqué à travers le regard d'une bande de gamins plutôt délurés. L'énorme curiosité qui les démange - celle que commande (et qui commande) le vie - les pousse à regarder un peu plus loin qu'il n'est permis... et à découvrir des gestes, des désirs, des noirceurs qui ne sont pas de leur âge. A moins que le sortir d'enfance ne soit, justement, cette transgression, violence toujours, qui nous montre enfin le monde tel qu'il est, nous révèle les règles du grand jeu à venir - et que l'existence promise à ceux qui grandissent n'est pas une semaine des quatre jeudis. Alain Lorne ne triche pas, ne pleure pas sur cette époque disparue hier - et qui a encore, dans ces parages, un drôle de goût d'avant-guerre. Sans chichis, sans fausse poésie, dans une écriture drue qui en surprendra plus d'un, il lui tire le portrait comme faisaient ces photographes ambulants de naguère : avec netteté et un sens du détail qui toujours fait mouche - sans oublier telle lumière venue d'on ne sait où, et qui a la couleur de l'éternité. Les Quatre jeudis est le deuxième roman d'Alain Lorne. Le premier, La Route brûlée (Phébus, 1996), avait reçu un accueil critique mieux qu'encourageant : Un livre à couper le souffle... Des bonheurs d'écriture à chaque page. " (Gilles Perrault)"