Les preuves de noblesse au XVIIIe siècle. La réaction aristocratique
2e édition revue et augmentée

Par : Benoît de Fauconpret
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  • Nombre de pages270
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.415 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-90452-05-3
  • EAN9791090452053
  • Date de parution01/02/2012
  • ÉditeurPatrice du Puy éditeur

Résumé

Lors de sa parution initiale en 1999, le présent livre tentait pour la première fois de faire le point de façon exhaustive sur les places réservées à la noblesse dans la France d'Ancien Régime, et sur les preuves nécessaires pour y être admis. Cet ouvrage, vite épuisé, est aujourd'hui réédité dans une version revue et largement augmentée. Il répertorie 197 institutions (5 de plus que dans la première édition) qui relèvent de domaines très variés : ordres de chevalerie et confréries nobles, honneurs de la cour, maisons civiles et militaires du roi et des princes, places d'officiers dans l'armée et la marine, établissements d'éducation pour les jeunes gentilshommes et demoiselles, chapitres de chanoines et de chanoinesses nobles, administrations provinciales et locales...
Pour chaque institution, ce recueil présente, souvent de façon détaillée, son organisation, sa composition, les preuves de noblesse requises, les sources dont on dispose. Ce travail très complet est précédé d'une introduction générale sur la façon dont se faisaient les preuves de noblesse (en particulier devant les généalogistes royaux), mais aussi d'une étude qualitative et quantitative sur l'évolution des places nobles et du recours aux preuves de noblesse tout au long du XVIIIe siècle.
Une telle étude permet d'aborder sur de nouvelles bases le concept discuté de "réaction nobiliaire", selon lequel, à la fin de l'Ancien Régime, les nobles auraient de plus en plus tendu à s'attribuer dans l'Etat toutes les places de prestige et de pouvoir.
Lors de sa parution initiale en 1999, le présent livre tentait pour la première fois de faire le point de façon exhaustive sur les places réservées à la noblesse dans la France d'Ancien Régime, et sur les preuves nécessaires pour y être admis. Cet ouvrage, vite épuisé, est aujourd'hui réédité dans une version revue et largement augmentée. Il répertorie 197 institutions (5 de plus que dans la première édition) qui relèvent de domaines très variés : ordres de chevalerie et confréries nobles, honneurs de la cour, maisons civiles et militaires du roi et des princes, places d'officiers dans l'armée et la marine, établissements d'éducation pour les jeunes gentilshommes et demoiselles, chapitres de chanoines et de chanoinesses nobles, administrations provinciales et locales...
Pour chaque institution, ce recueil présente, souvent de façon détaillée, son organisation, sa composition, les preuves de noblesse requises, les sources dont on dispose. Ce travail très complet est précédé d'une introduction générale sur la façon dont se faisaient les preuves de noblesse (en particulier devant les généalogistes royaux), mais aussi d'une étude qualitative et quantitative sur l'évolution des places nobles et du recours aux preuves de noblesse tout au long du XVIIIe siècle.
Une telle étude permet d'aborder sur de nouvelles bases le concept discuté de "réaction nobiliaire", selon lequel, à la fin de l'Ancien Régime, les nobles auraient de plus en plus tendu à s'attribuer dans l'Etat toutes les places de prestige et de pouvoir.