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Les prémices de la vie. Fondements moléculaires
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-336-41635-9
- EAN9782336416359
- Date de parution04/01/2024
- CollectionSanté, sociétés et cultures
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'apparition de la cellule à partir de la matière inerte, longtemps attribuée au hasard, serait aujourd'hui pour la communauté scientifique l'oeuvre d'un créateur à l'instar de l'Univers. Les prémices de la vie pourraient être des étapes importantes du passage de l'inerte au vivant. La vie est un cycle associant croissance et reproduction. Ce cycle est soumis à divers stress compromettant la pulsion de vie.
Les cellules y répondent par l'apoptose, une mort programmée sélective qui épargne la vie de l'organisme ou par la sénescence cellulaire, un mode de survie qui aboutit inéluctablement à terme à la mort de l'organisme. Disserter sur la vie, c'est y introduire la mort et leur dualisme, à la croisée des sciences humaines et sociales de l'anthropologie à la psychanalyse.
Les cellules y répondent par l'apoptose, une mort programmée sélective qui épargne la vie de l'organisme ou par la sénescence cellulaire, un mode de survie qui aboutit inéluctablement à terme à la mort de l'organisme. Disserter sur la vie, c'est y introduire la mort et leur dualisme, à la croisée des sciences humaines et sociales de l'anthropologie à la psychanalyse.
L'apparition de la cellule à partir de la matière inerte, longtemps attribuée au hasard, serait aujourd'hui pour la communauté scientifique l'oeuvre d'un créateur à l'instar de l'Univers. Les prémices de la vie pourraient être des étapes importantes du passage de l'inerte au vivant. La vie est un cycle associant croissance et reproduction. Ce cycle est soumis à divers stress compromettant la pulsion de vie.
Les cellules y répondent par l'apoptose, une mort programmée sélective qui épargne la vie de l'organisme ou par la sénescence cellulaire, un mode de survie qui aboutit inéluctablement à terme à la mort de l'organisme. Disserter sur la vie, c'est y introduire la mort et leur dualisme, à la croisée des sciences humaines et sociales de l'anthropologie à la psychanalyse.
Les cellules y répondent par l'apoptose, une mort programmée sélective qui épargne la vie de l'organisme ou par la sénescence cellulaire, un mode de survie qui aboutit inéluctablement à terme à la mort de l'organisme. Disserter sur la vie, c'est y introduire la mort et leur dualisme, à la croisée des sciences humaines et sociales de l'anthropologie à la psychanalyse.
A propos de Jean-Claude Poirée