Dans ce récit à la première personne du singulier, Loïc Merle rend un hommage vibrant aux deux figures lumineuses qui ont jalonné son parcours d'homme et d'écrivain : sa grand-mère Augusta, auprès de qui il passa ses jeunes années, et Jean-Luc Lagarce, dramaturge et metteur en scène dont le "Journal" lui servit de boussole à de nombreuses reprises. Entre ces deux repères aussi intimes qu'universels, tout au long du texte, sillonne ce que le passé inscrit en chacun de nous pour demain - ce qui ne s'éteint jamais vraiment, même avec le temps, même avec l'oeuvre du deuil.
Dans ce récit à la première personne du singulier, Loïc Merle rend un hommage vibrant aux deux figures lumineuses qui ont jalonné son parcours d'homme et d'écrivain : sa grand-mère Augusta, auprès de qui il passa ses jeunes années, et Jean-Luc Lagarce, dramaturge et metteur en scène dont le "Journal" lui servit de boussole à de nombreuses reprises. Entre ces deux repères aussi intimes qu'universels, tout au long du texte, sillonne ce que le passé inscrit en chacun de nous pour demain - ce qui ne s'éteint jamais vraiment, même avec le temps, même avec l'oeuvre du deuil.