Les poésies de langue française et l'histoire au XX siècle
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.286 kg
- Dimensions15,5 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-7535-2859-8
- EAN9782753528598
- Date de parution02/01/2014
- CollectionPlurial
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
Depuis la fin du romantisme, la question de l'histoire pour la poésie française est-elle devenue sans objet ? Est-elle à l'inverse omniprésente dans les poésies francophones, notamment celles des aires marquées par la fin des empires coloniaux ? Cet ouvrage entend précisément nuancer cette opposition. La relation de la poésie française à l'histoire est au XXe siècle paradoxale mais bien réelle : relation d'extériorité assumée, oblique et non thématisée, elle n'est pas à chercher seulement dans un dispositif de représentation.
Densité, vitesse, opacité : la poésie française donne à lire l'histoire de son temps d'une manière autre, irréductible aux discours sociaux ou historiens. Les poésies francophones, d'autre part, recouvrent des champs différents et ne se laissent pas rassembler dans un impératif commun, qu'il soit d'adhésion plus étroite à l'événement ou de reconstruction d'une histoire confisquée par la colonisation.
Elles s'inscrivent dans des traditions nationales, mais dialoguent aussi avec les poésies françaises, dont elles partagent bien des paradoxes dans leur rapport à l'histoire.
Densité, vitesse, opacité : la poésie française donne à lire l'histoire de son temps d'une manière autre, irréductible aux discours sociaux ou historiens. Les poésies francophones, d'autre part, recouvrent des champs différents et ne se laissent pas rassembler dans un impératif commun, qu'il soit d'adhésion plus étroite à l'événement ou de reconstruction d'une histoire confisquée par la colonisation.
Elles s'inscrivent dans des traditions nationales, mais dialoguent aussi avec les poésies françaises, dont elles partagent bien des paradoxes dans leur rapport à l'histoire.
Depuis la fin du romantisme, la question de l'histoire pour la poésie française est-elle devenue sans objet ? Est-elle à l'inverse omniprésente dans les poésies francophones, notamment celles des aires marquées par la fin des empires coloniaux ? Cet ouvrage entend précisément nuancer cette opposition. La relation de la poésie française à l'histoire est au XXe siècle paradoxale mais bien réelle : relation d'extériorité assumée, oblique et non thématisée, elle n'est pas à chercher seulement dans un dispositif de représentation.
Densité, vitesse, opacité : la poésie française donne à lire l'histoire de son temps d'une manière autre, irréductible aux discours sociaux ou historiens. Les poésies francophones, d'autre part, recouvrent des champs différents et ne se laissent pas rassembler dans un impératif commun, qu'il soit d'adhésion plus étroite à l'événement ou de reconstruction d'une histoire confisquée par la colonisation.
Elles s'inscrivent dans des traditions nationales, mais dialoguent aussi avec les poésies françaises, dont elles partagent bien des paradoxes dans leur rapport à l'histoire.
Densité, vitesse, opacité : la poésie française donne à lire l'histoire de son temps d'une manière autre, irréductible aux discours sociaux ou historiens. Les poésies francophones, d'autre part, recouvrent des champs différents et ne se laissent pas rassembler dans un impératif commun, qu'il soit d'adhésion plus étroite à l'événement ou de reconstruction d'une histoire confisquée par la colonisation.
Elles s'inscrivent dans des traditions nationales, mais dialoguent aussi avec les poésies françaises, dont elles partagent bien des paradoxes dans leur rapport à l'histoire.