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Kosh sortit sous le déluge, courut le long de la rue nationale. Les rares voitures en stationnement avaient déjà de l'eau au ras de leurs caisses. Le courant était fort. Quand il arriva au nord du village, il comprit que c'était foutu. Il n'y avait plus de pont, ici non plus. Le tablier, le parapet apparaissaient encore parfois dans la boue écumante. Rien de plus. L'eau rugissait et roulait à hauteur du haut des digues.
De l'autre côté, sur l'autre rive : plus de prairie, plus d'herbe - juste un fleuve immense large comme un bras de mer.
L'eau monte
Un roman post apocalyptique qui nous tient en haleine!
Il pleut depuis des mois, rivières, lacs et océans sont en crues, les populations montent pour rejoindre les hauteurs.
Nous suivons ici 5 enfants. ( 2 ado, 2 pré ado et un bébé) dans leur course effrénée pour sauver leur peau, rester au sec, et en sécurité.
Pas une seconde de repit, on est tenus en haleine jusqu'au bout: vivement la suite!