Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Trois anciennes camarades de classe se retrouvent après s'être perdues de vue quelque cinquante années plus tôt. Elles s'étaient séparées d'un...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Trois anciennes camarades de classe se retrouvent après s'être perdues de vue quelque cinquante années plus tôt. Elles s'étaient séparées d'un cœur léger l'été de leurs dix ans, en se jurant, face à la vie qui s'annonçait, de décrocher monts et merveilles. Un demi-siècle plus tard, tout proclame qu'elles ont "réussi" leur existence mais, reportant leur regard en arrière, elles ne peuvent s'empêcher de se dire qu'elles l'ont bel et bien ratée-les adultes, sur ce chapitre-là, sont tellement plus indulgents avec eux-mêmes que les enfants... Sort-on jamais de l'enfance? Et si l'on pense un jour en sortir, est-ce pour aller quelque part? Pour aller où? Ces questions, Elizabeth Bowen (1899-197:3) -sans doute en son siècle la plus sûre héritière de Jane Austen et de Virginia Woolf-les pose (à peine). Et se garde bien sûr d'y répondre. Nos certitudes sont les plus grandes ennemies de nos émotions. Publié en 1903, Les Petites filles, que tous les amoureux d'Elizabeth Bowen considèrent connue l'un de ses plus grands romans, était depuis des années absent des librairies de langue française.
Trois anciennes camarades de classe se retrouvent après s'être perdues de vue quelque cinquante années plus tôt. Elles s'étaient séparées d'un coeur léger l'été de leurs dix ans, en se jurant, face à la vie qui s'annonçait, de décrocher monts et merveilles. Un demi-siècle plus tard, tout annonce qu'elles ont réussi" leur vie mais, reportant leur regard en arrière, elles ne peuvent s'empêcher de se dire qu'elles l'ont bel et bien ratée les adultes, sur ce chapitre-là, sont tellement plus indulgents avec eux-mêmes que les enfants... Sort-on jamais de l'enfance ? Et si l'on pense un jour en sortir, est-ce pour aller quelque part ? Pour aller où ? Ces questions, Elizabeth Bowen (1899-1973) sans doute en son siècle la plus sûre héritière de Jane Austen et de Virginia Woolf les pose (à peine). Et se garde bien sûr d'y répondre. Nos certitudes sont les plus grandes ennemies de nos émotions".