Les perversions. Tome 1, Le fétichisme
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- Poids0.075 kg
- Dimensions10,5 cm × 18,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-35687-230-2
- EAN9782356872302
- Date de parution14/03/2013
- CollectionLa Muette
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
Monument ou trophée, le fétiche désigne à la fois la castration et le triomphe sur la castration. Non seulement il est une protection contre la menace de la castration, mais il a pour fonction d'épargner au fétichiste de devenir homosexuel, en prêtant à la femme ce caractère par lequel elle devient supportable en tant qu'objet sexuel (Freud). Le transfert du pervers ne se fait pas sur le sujet-supposé-savoir, car c'est bien lui, le pervers, qui vient à nous, psychanalystes, avec un savoir.
C'est au nom de ce savoir que le pervers nous parle, comme délégué d'une loi dont il veut que nous nous reconnaissions nous-mêmes sujets. Il en résulte que le transfert pervers ne vise pas le sujet-supposé-savoir, mais plutôt le sujet-supposé-jouir.
C'est au nom de ce savoir que le pervers nous parle, comme délégué d'une loi dont il veut que nous nous reconnaissions nous-mêmes sujets. Il en résulte que le transfert pervers ne vise pas le sujet-supposé-savoir, mais plutôt le sujet-supposé-jouir.
Monument ou trophée, le fétiche désigne à la fois la castration et le triomphe sur la castration. Non seulement il est une protection contre la menace de la castration, mais il a pour fonction d'épargner au fétichiste de devenir homosexuel, en prêtant à la femme ce caractère par lequel elle devient supportable en tant qu'objet sexuel (Freud). Le transfert du pervers ne se fait pas sur le sujet-supposé-savoir, car c'est bien lui, le pervers, qui vient à nous, psychanalystes, avec un savoir.
C'est au nom de ce savoir que le pervers nous parle, comme délégué d'une loi dont il veut que nous nous reconnaissions nous-mêmes sujets. Il en résulte que le transfert pervers ne vise pas le sujet-supposé-savoir, mais plutôt le sujet-supposé-jouir.
C'est au nom de ce savoir que le pervers nous parle, comme délégué d'une loi dont il veut que nous nous reconnaissions nous-mêmes sujets. Il en résulte que le transfert pervers ne vise pas le sujet-supposé-savoir, mais plutôt le sujet-supposé-jouir.