Tant de jours discourtois m'ont si vite tourné le dos sans un au revoir. Et te voilà qui cherches à te faire reconnaître. Je ne te prêtais guère attention, mais les autres sont partis. Tu te tiens debout, sans un mot, contre le montant de la porte à regarder l'herbe du seuil fléchir sous le passage de l'air. Le nouveau venu
Tant de jours discourtois m'ont si vite tourné le dos sans un au revoir. Et te voilà qui cherches à te faire reconnaître. Je ne te prêtais guère attention, mais les autres sont partis. Tu te tiens debout, sans un mot, contre le montant de la porte à regarder l'herbe du seuil fléchir sous le passage de l'air. Le nouveau venu