Les oubliés d'Action Directe. De l'ultragauche au terrorisme, Lyon 1980
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- Nombre de pages437
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.45 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-38553-153-9
- EAN9782385531539
- Date de parution27/02/2025
- ÉditeurManufacture de livres éditions
Résumé
Nombreux sont ceux qui se souviennent des visages de Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan, Georges Cipriani sur les avis de recherche et les images de leur arrestation en 1987. Ces derniers incarnent le groupe Action Directe. Et pourtant, sa branche lyonnaise, tout aussi violente, reste méconnue... C'est André Olivier, un enseignant révoqué de l'Education nationale, qui a fondé Action directe avec Jean-Marc Rouillan, avant de constituer à Lyon un groupe complètement autonome avec ses anciens élèves, tel Maxime Frérot.
Six ans de clandestinité totale. Une trentaine de braquages dans la région lyonnaise, et autant d'attentats à Paris contre des grands groupes capitalistes, comme Elf, Rhône-Poulenc ou Béghin-Say. Des revendications sur fond de luttes sociales, de guerre au Proche-Orient et de troubles en Nouvelle- Calédonie. Plusieurs victimes dont un policier et un général de gendarmerie. Au-delà de ce bilan, l'histoire de cette branche raconte aussi la dérive progressive d'un mouvement d'ultragauche post 68 jusqu'à l'arrestation de ses membres, qui entraînera le premier procès d'un groupe terroriste en France.
A travers des archives judiciaires et une série d'entretiens avec des acteurs et témoins directs, c'est tout le contexte social et politique des années de plomb qui ressurgit.
Six ans de clandestinité totale. Une trentaine de braquages dans la région lyonnaise, et autant d'attentats à Paris contre des grands groupes capitalistes, comme Elf, Rhône-Poulenc ou Béghin-Say. Des revendications sur fond de luttes sociales, de guerre au Proche-Orient et de troubles en Nouvelle- Calédonie. Plusieurs victimes dont un policier et un général de gendarmerie. Au-delà de ce bilan, l'histoire de cette branche raconte aussi la dérive progressive d'un mouvement d'ultragauche post 68 jusqu'à l'arrestation de ses membres, qui entraînera le premier procès d'un groupe terroriste en France.
A travers des archives judiciaires et une série d'entretiens avec des acteurs et témoins directs, c'est tout le contexte social et politique des années de plomb qui ressurgit.
Nombreux sont ceux qui se souviennent des visages de Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan, Georges Cipriani sur les avis de recherche et les images de leur arrestation en 1987. Ces derniers incarnent le groupe Action Directe. Et pourtant, sa branche lyonnaise, tout aussi violente, reste méconnue... C'est André Olivier, un enseignant révoqué de l'Education nationale, qui a fondé Action directe avec Jean-Marc Rouillan, avant de constituer à Lyon un groupe complètement autonome avec ses anciens élèves, tel Maxime Frérot.
Six ans de clandestinité totale. Une trentaine de braquages dans la région lyonnaise, et autant d'attentats à Paris contre des grands groupes capitalistes, comme Elf, Rhône-Poulenc ou Béghin-Say. Des revendications sur fond de luttes sociales, de guerre au Proche-Orient et de troubles en Nouvelle- Calédonie. Plusieurs victimes dont un policier et un général de gendarmerie. Au-delà de ce bilan, l'histoire de cette branche raconte aussi la dérive progressive d'un mouvement d'ultragauche post 68 jusqu'à l'arrestation de ses membres, qui entraînera le premier procès d'un groupe terroriste en France.
A travers des archives judiciaires et une série d'entretiens avec des acteurs et témoins directs, c'est tout le contexte social et politique des années de plomb qui ressurgit.
Six ans de clandestinité totale. Une trentaine de braquages dans la région lyonnaise, et autant d'attentats à Paris contre des grands groupes capitalistes, comme Elf, Rhône-Poulenc ou Béghin-Say. Des revendications sur fond de luttes sociales, de guerre au Proche-Orient et de troubles en Nouvelle- Calédonie. Plusieurs victimes dont un policier et un général de gendarmerie. Au-delà de ce bilan, l'histoire de cette branche raconte aussi la dérive progressive d'un mouvement d'ultragauche post 68 jusqu'à l'arrestation de ses membres, qui entraînera le premier procès d'un groupe terroriste en France.
A travers des archives judiciaires et une série d'entretiens avec des acteurs et témoins directs, c'est tout le contexte social et politique des années de plomb qui ressurgit.