Les opérations d'influences chinoises. Un moment machiavélien
3e édition revue et augmentée

Par : Paul Charon, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer
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  • Nombre de pages727
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.996 kg
  • Dimensions16,5 cm × 23,8 cm × 3,7 cm
  • ISBN978-2-38284-249-2
  • EAN9782382842492
  • Date de parution31/01/2024
  • ÉditeurEquateurs

Résumé

Longtemps, la Chine a cherché à être aimée. Elle aspirait à séduire, projeter une image positive dans le monde, susciter l'admiration. Aujourd'hui, Pékin n'a pas renoncé à la séduction ; mais, dans le même temps, elle assume toujours plus d'infiltrer, de corrompre et de contraindre, dans le but de façonner l'ordre mondial à son avantage : ses opérations d'influence se sont considérablement durcies ces dernières années et ses méthodes ressemblent à celles employées par Moscou.
C'est un "moment machiavélien" au sens où pour Pékin désormais "il est plus sûr d'être craint que d'être aimé". Ce rapport met à nu cette politique offensive de la Chine et s'intéresse à cette évolution, avec l'ambition de couvrir tout le spectre de l'influence, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c'est-à-dire l'ingérence (activités clandestines). Il présente les actions de manipulation conduites par Pékin à l'égard des diasporas, des médias, de l'économie, de la politique, de l'éducation, des relations internationales, des think tanks, etc.
Ainsi, la Chine tente de faire croire à l'origine américaine de la Covid-19 en 2020, et soutient la Russie dans la guerre en Ukraine depuis 2022. Cette nouvelle posture chinoise sera-t-elle un échec ou un succès stratégique ? Elle est quoi qu'il en soit déterminante sur un échiquier mondial bousculé.
Longtemps, la Chine a cherché à être aimée. Elle aspirait à séduire, projeter une image positive dans le monde, susciter l'admiration. Aujourd'hui, Pékin n'a pas renoncé à la séduction ; mais, dans le même temps, elle assume toujours plus d'infiltrer, de corrompre et de contraindre, dans le but de façonner l'ordre mondial à son avantage : ses opérations d'influence se sont considérablement durcies ces dernières années et ses méthodes ressemblent à celles employées par Moscou.
C'est un "moment machiavélien" au sens où pour Pékin désormais "il est plus sûr d'être craint que d'être aimé". Ce rapport met à nu cette politique offensive de la Chine et s'intéresse à cette évolution, avec l'ambition de couvrir tout le spectre de l'influence, de la plus bénigne (diplomatie publique) à la plus maligne, c'est-à-dire l'ingérence (activités clandestines). Il présente les actions de manipulation conduites par Pékin à l'égard des diasporas, des médias, de l'économie, de la politique, de l'éducation, des relations internationales, des think tanks, etc.
Ainsi, la Chine tente de faire croire à l'origine américaine de la Covid-19 en 2020, et soutient la Russie dans la guerre en Ukraine depuis 2022. Cette nouvelle posture chinoise sera-t-elle un échec ou un succès stratégique ? Elle est quoi qu'il en soit déterminante sur un échiquier mondial bousculé.