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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions22,2 cm × 15,1 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-07-078792-0
- EAN9782070787920
- Date de parution25/08/2011
- ÉditeurGallimard
Résumé
En voyage professionnel au Brésil, Samuel meurt subitement dans le taxi qui le conduit à l'aéroport où il devait prendre l'avion pour Paris et retrouver sa compagne. A travers le récit de cette dernière, le lecteur est confronté à la poignante épreuve de la perte d'un être cher, depuis le coup de téléphone fortuit qui fait basculer la vie, jusqu'à la lente reconstruction de soi pour redevenir " le plus vivante possible".
Ainsi prostrée dans la douleur, comme absente d'elle-même, la narratrice tente, sans démonstration excessive, mais comme une dernière tentative pour cerner l'inacceptable, d'approcher le corps dans sa composition anatomique et organique. Dans une langue d'une bouleversante sobriété, Lise Benincà raconte le retour à l'existence et au sentiment rassurant de faire partie d'un mouvement où les oiseaux partent en hiver et reviennent toujours au printemps.
Ainsi prostrée dans la douleur, comme absente d'elle-même, la narratrice tente, sans démonstration excessive, mais comme une dernière tentative pour cerner l'inacceptable, d'approcher le corps dans sa composition anatomique et organique. Dans une langue d'une bouleversante sobriété, Lise Benincà raconte le retour à l'existence et au sentiment rassurant de faire partie d'un mouvement où les oiseaux partent en hiver et reviennent toujours au printemps.
En voyage professionnel au Brésil, Samuel meurt subitement dans le taxi qui le conduit à l'aéroport où il devait prendre l'avion pour Paris et retrouver sa compagne. A travers le récit de cette dernière, le lecteur est confronté à la poignante épreuve de la perte d'un être cher, depuis le coup de téléphone fortuit qui fait basculer la vie, jusqu'à la lente reconstruction de soi pour redevenir " le plus vivante possible".
Ainsi prostrée dans la douleur, comme absente d'elle-même, la narratrice tente, sans démonstration excessive, mais comme une dernière tentative pour cerner l'inacceptable, d'approcher le corps dans sa composition anatomique et organique. Dans une langue d'une bouleversante sobriété, Lise Benincà raconte le retour à l'existence et au sentiment rassurant de faire partie d'un mouvement où les oiseaux partent en hiver et reviennent toujours au printemps.
Ainsi prostrée dans la douleur, comme absente d'elle-même, la narratrice tente, sans démonstration excessive, mais comme une dernière tentative pour cerner l'inacceptable, d'approcher le corps dans sa composition anatomique et organique. Dans une langue d'une bouleversante sobriété, Lise Benincà raconte le retour à l'existence et au sentiment rassurant de faire partie d'un mouvement où les oiseaux partent en hiver et reviennent toujours au printemps.
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