Singulières par leur langue, leur composition et par l'ampleur de leur dessein, ces oeuvres collectives (1585) inscrivent la chirurgie dans un humanisme qui conduit de la connaissance du corps à la contemplation de la nature, admirable dans son ordre comme dans ses prodiges les plus surprenants.
Singulières par leur langue, leur composition et par l'ampleur de leur dessein, ces oeuvres collectives (1585) inscrivent la chirurgie dans un humanisme qui conduit de la connaissance du corps à la contemplation de la nature, admirable dans son ordre comme dans ses prodiges les plus surprenants.