Les Nationalisations de la Libération. De l'utopie au compromis
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- Nombre de pages392
- PrésentationBroché
- Poids0.453 kg
- Dimensions13,6 cm × 22,0 cm × 2,9 cm
- ISBN2-7246-0541-1
- EAN9782724605419
- Date de parution01/01/1987
- ÉditeurSciences Po (Les Presses de)
Résumé
Voici, pour la première fois, un tableau complet des nationalisations de la Libération : l'analyse de l'ensemble des mesures sur la totalité de la période éclaire la discussion en la renouvelant. Elle départage les nombreux protagonistes qui revendiquent en France la paternité des nationalisations. L'approche historique permet de dire à qui, des comités de gestion, de la CGT, du Parti communiste, du Parti socialiste, du MRP ou du général de Gaulle, on doit attribuer la responsabilité des réformes de structure.
L'échelonnement des mesures de 1944 à 1948 montre aussi les différentes méthodes de conception mises en oeuvre, et détruit le mythe d'un projet unique ou central. On comprend dès lors comment l'origine plurielle et l'étalement dans le temps des réformes ont facilité la traduction de l'imaginaire utopique en un compromis démocratique, et assuré le consensus dont les nationalisations furent l'objet pendant près de quarante ans.
L'échelonnement des mesures de 1944 à 1948 montre aussi les différentes méthodes de conception mises en oeuvre, et détruit le mythe d'un projet unique ou central. On comprend dès lors comment l'origine plurielle et l'étalement dans le temps des réformes ont facilité la traduction de l'imaginaire utopique en un compromis démocratique, et assuré le consensus dont les nationalisations furent l'objet pendant près de quarante ans.
Voici, pour la première fois, un tableau complet des nationalisations de la Libération : l'analyse de l'ensemble des mesures sur la totalité de la période éclaire la discussion en la renouvelant. Elle départage les nombreux protagonistes qui revendiquent en France la paternité des nationalisations. L'approche historique permet de dire à qui, des comités de gestion, de la CGT, du Parti communiste, du Parti socialiste, du MRP ou du général de Gaulle, on doit attribuer la responsabilité des réformes de structure.
L'échelonnement des mesures de 1944 à 1948 montre aussi les différentes méthodes de conception mises en oeuvre, et détruit le mythe d'un projet unique ou central. On comprend dès lors comment l'origine plurielle et l'étalement dans le temps des réformes ont facilité la traduction de l'imaginaire utopique en un compromis démocratique, et assuré le consensus dont les nationalisations furent l'objet pendant près de quarante ans.
L'échelonnement des mesures de 1944 à 1948 montre aussi les différentes méthodes de conception mises en oeuvre, et détruit le mythe d'un projet unique ou central. On comprend dès lors comment l'origine plurielle et l'étalement dans le temps des réformes ont facilité la traduction de l'imaginaire utopique en un compromis démocratique, et assuré le consensus dont les nationalisations furent l'objet pendant près de quarante ans.