Les mots des urbanistes. Entre parlers techniques et langue commune
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- Nombre de pages284
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.455 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-16283-6
- EAN9782343162836
- Date de parution02/05/2019
- CollectionHabitat et sociétés
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Mots de la ville ou mots de l'urbanisme ? En ouvrant cette question, le présent volume enquête sur la spécialisation du lexique urbain. Depuis le XIXe siècle, l'apparition de néologismes, de jargons parfois, a accompagné le processus d'aménagement des villes. Ce mouvement s'est appuyé sur la considérable mutation que celles-ci ont connue ainsi que sur l'affirmation progressive de nouvelles compétences professionnelles et techniques.
Aux nouveaux quartiers, aux nouvelles méthodes de fabrication des villes, aux projets, répond l'apparition de termes - parfois inventés, parfois issus de lexiques existants étrangers aux questions urbaines - qui se couvrent de nouvelles significations. La dimension internationale à laquelle cet ouvrage consacre une large place est essentielle, tant les échanges sont ici nombreux et recherchés. Dans toutes les langues, les mots de la ville et de l'urbanisme conservent souvent un ancrage dans la langue commune, qu'ils en proviennent ou qu'ils la rejoignent, et ceci même lorsqu'ils sont le produit de processus techniques aussi forts que la création d'acronymes.
L'"appropriation" de la ville par ses habitants ne passe-t-elle pas également par le langage ?
Aux nouveaux quartiers, aux nouvelles méthodes de fabrication des villes, aux projets, répond l'apparition de termes - parfois inventés, parfois issus de lexiques existants étrangers aux questions urbaines - qui se couvrent de nouvelles significations. La dimension internationale à laquelle cet ouvrage consacre une large place est essentielle, tant les échanges sont ici nombreux et recherchés. Dans toutes les langues, les mots de la ville et de l'urbanisme conservent souvent un ancrage dans la langue commune, qu'ils en proviennent ou qu'ils la rejoignent, et ceci même lorsqu'ils sont le produit de processus techniques aussi forts que la création d'acronymes.
L'"appropriation" de la ville par ses habitants ne passe-t-elle pas également par le langage ?
Mots de la ville ou mots de l'urbanisme ? En ouvrant cette question, le présent volume enquête sur la spécialisation du lexique urbain. Depuis le XIXe siècle, l'apparition de néologismes, de jargons parfois, a accompagné le processus d'aménagement des villes. Ce mouvement s'est appuyé sur la considérable mutation que celles-ci ont connue ainsi que sur l'affirmation progressive de nouvelles compétences professionnelles et techniques.
Aux nouveaux quartiers, aux nouvelles méthodes de fabrication des villes, aux projets, répond l'apparition de termes - parfois inventés, parfois issus de lexiques existants étrangers aux questions urbaines - qui se couvrent de nouvelles significations. La dimension internationale à laquelle cet ouvrage consacre une large place est essentielle, tant les échanges sont ici nombreux et recherchés. Dans toutes les langues, les mots de la ville et de l'urbanisme conservent souvent un ancrage dans la langue commune, qu'ils en proviennent ou qu'ils la rejoignent, et ceci même lorsqu'ils sont le produit de processus techniques aussi forts que la création d'acronymes.
L'"appropriation" de la ville par ses habitants ne passe-t-elle pas également par le langage ?
Aux nouveaux quartiers, aux nouvelles méthodes de fabrication des villes, aux projets, répond l'apparition de termes - parfois inventés, parfois issus de lexiques existants étrangers aux questions urbaines - qui se couvrent de nouvelles significations. La dimension internationale à laquelle cet ouvrage consacre une large place est essentielle, tant les échanges sont ici nombreux et recherchés. Dans toutes les langues, les mots de la ville et de l'urbanisme conservent souvent un ancrage dans la langue commune, qu'ils en proviennent ou qu'ils la rejoignent, et ceci même lorsqu'ils sont le produit de processus techniques aussi forts que la création d'acronymes.
L'"appropriation" de la ville par ses habitants ne passe-t-elle pas également par le langage ?