Les mots des Poilus. Dans leurs correspondances et leurs carnets

Par : Pierre Rézeau
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages980
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids1.95 kg
  • Dimensions18,0 cm × 24,5 cm × 5,3 cm
  • ISBN978-2-37276-027-0
  • EAN9782372760270
  • Date de parution05/11/2018
  • CollectionBibliothèque de linguistique
  • ÉditeurELIPHI
  • PréfacierAnnette Becker

Résumé

Entre 3,5 et 4 millions de lettres par jour ont été adressées aux soldats pendant la Première Guerre mondiale, tandis que de leur côté, les soldats envoient 1,8 million de lettres ou cartes quotidiennes. Les correspondances et les carnets laissés par les Poilus et leurs familles constituent ainsi un gisement inépuisable, particulièrement précieux pour la connaissance du français au début du 20e siècle.
Souvent écrits dans des conditions extrêmes, ces textes témoignent de la langue de cette époque dans ses diverses composantes : populaire, argotique, militaire, régionale, familiale. Sans prétendre à l'exhaustivité, cet inventaire attentif et méthodique nous fait découvrir les mots des Poilus avant qu'ils n'aient "fondu dans une absence épaisse".
Entre 3,5 et 4 millions de lettres par jour ont été adressées aux soldats pendant la Première Guerre mondiale, tandis que de leur côté, les soldats envoient 1,8 million de lettres ou cartes quotidiennes. Les correspondances et les carnets laissés par les Poilus et leurs familles constituent ainsi un gisement inépuisable, particulièrement précieux pour la connaissance du français au début du 20e siècle.
Souvent écrits dans des conditions extrêmes, ces textes témoignent de la langue de cette époque dans ses diverses composantes : populaire, argotique, militaire, régionale, familiale. Sans prétendre à l'exhaustivité, cet inventaire attentif et méthodique nous fait découvrir les mots des Poilus avant qu'ils n'aient "fondu dans une absence épaisse".