Les Morin-Lourdel Tome 4
Mourir pour des idées

Par : Maric
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages48
  • FormatAlbum
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions21,5 cm × 29,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN2-7234-4490-2
  • EAN9782723444903
  • Date de parution27/04/2005
  • CollectionVécu
  • ÉditeurGlénat

Résumé

Alors que l'Allemagne occupe la France et la plie sous son joug, certains voient dans la collaboration un moyen efficace de conserver des affaires saines. C'est ainsi que l'envisage Nicolas Morin, arriviste, ambitieux et surtout sans scrupules. Il propose donc à l'industriel de Lourdel de soutenir l'occupant et de fabriquer armes et obus pour le IIIº Reich. Les succès hitlériens des années 40-41 semblent donner raison à Nicolas : les de Lourdel s'enrichissent.
Et bientôt le mariage longtemps repoussé qu'il entrevoit avec Adrienne de Lourdel viendra consolider sa place de bras droit auprès de son beau-père. Une affaire qui roule, en somme ! D'autant plus que Nicolas entretient toujours sans vergogne des relations extra-conjugales. Notammentavec Mona Fradier, la veuve du résistant Jean Philarmont, qu'il recroise inopinément à la Kommandantur au bras d'un officier S.
S. Néanmoins, cette dernière à la mémoire aussi vive que sa soif de vengeance et "rira bien qui rira le dernier" ... Pendant ce temps Hugues de Lourdel, qui a coupé tous les ponts avec sa famille, se dévoue corps et âme pour ses malades. Comble de l'ironie, le bon docteur entretient toujours des rapports cordiaux avec Etienne Morini et son épouse, les parents de Nicolas. Une franche amitié qui sera mise à rude épreuve, lorsque Hugues demandera un service à Etienne...
Un service qui n'est pas sans danger ! La fresque familiale des Morini et des Lourdel reprend de plus belle dans cette France déchirée. Un nouveau dessinateur, Chouin, assimile l'héritage graphique de Baron-Brumaire et nous restitue des planches très caractérisées, où le lecteur ne se sent pas perdu mais où perce déjà un style propre. Une transition réussie sans aucun doute !
Alors que l'Allemagne occupe la France et la plie sous son joug, certains voient dans la collaboration un moyen efficace de conserver des affaires saines. C'est ainsi que l'envisage Nicolas Morin, arriviste, ambitieux et surtout sans scrupules. Il propose donc à l'industriel de Lourdel de soutenir l'occupant et de fabriquer armes et obus pour le IIIº Reich. Les succès hitlériens des années 40-41 semblent donner raison à Nicolas : les de Lourdel s'enrichissent.
Et bientôt le mariage longtemps repoussé qu'il entrevoit avec Adrienne de Lourdel viendra consolider sa place de bras droit auprès de son beau-père. Une affaire qui roule, en somme ! D'autant plus que Nicolas entretient toujours sans vergogne des relations extra-conjugales. Notammentavec Mona Fradier, la veuve du résistant Jean Philarmont, qu'il recroise inopinément à la Kommandantur au bras d'un officier S.
S. Néanmoins, cette dernière à la mémoire aussi vive que sa soif de vengeance et "rira bien qui rira le dernier" ... Pendant ce temps Hugues de Lourdel, qui a coupé tous les ponts avec sa famille, se dévoue corps et âme pour ses malades. Comble de l'ironie, le bon docteur entretient toujours des rapports cordiaux avec Etienne Morini et son épouse, les parents de Nicolas. Une franche amitié qui sera mise à rude épreuve, lorsque Hugues demandera un service à Etienne...
Un service qui n'est pas sans danger ! La fresque familiale des Morini et des Lourdel reprend de plus belle dans cette France déchirée. Un nouveau dessinateur, Chouin, assimile l'héritage graphique de Baron-Brumaire et nous restitue des planches très caractérisées, où le lecteur ne se sent pas perdu mais où perce déjà un style propre. Une transition réussie sans aucun doute !