"Paris était le siège historique du conflit affectif entre mes parents, l'épicentre de l'écartèlement entre leurs influences, leurs héritages. Paris était le foyer ancestral où j'étais la fille de : la fille de ma mère-la-folle, la fille de mon père, la petite-fille d'un grand-père illustre, fût-il injustement oublié". Après Fugitive parce que reine, ode déchirante consacrée à sa mère, Violaine Huisman explore la légende paternelle : homme d'affaires et philosophe, figure hors norme des Trente Glorieuses, il était aussi et peut-être surtout fils d'un haut fonctionnaire juif, directeur des Beaux-Arts, fondateur du Festival de Cannes spolié pendant la Seconde Guerre mondiale.
Deux destins singuliers qui traversent le XX ? siècle et permettent au roman d'enchâsser petite et grande histoire.
"Paris était le siège historique du conflit affectif entre mes parents, l'épicentre de l'écartèlement entre leurs influences, leurs héritages. Paris était le foyer ancestral où j'étais la fille de : la fille de ma mère-la-folle, la fille de mon père, la petite-fille d'un grand-père illustre, fût-il injustement oublié". Après Fugitive parce que reine, ode déchirante consacrée à sa mère, Violaine Huisman explore la légende paternelle : homme d'affaires et philosophe, figure hors norme des Trente Glorieuses, il était aussi et peut-être surtout fils d'un haut fonctionnaire juif, directeur des Beaux-Arts, fondateur du Festival de Cannes spolié pendant la Seconde Guerre mondiale.
Deux destins singuliers qui traversent le XX ? siècle et permettent au roman d'enchâsser petite et grande histoire.