Les métamorphoses du gras. Histoire de l'obésité du Moyen Age au XXe siècle
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- Nombre de pages362
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.222 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-7578-3443-5
- EAN9782757834435
- Date de parution06/06/2013
- CollectionPoints. Histoire
- ÉditeurPoints
Résumé
Des cuisses potelées de la Vénus de Boticelli à la dictature contemporaine de la minceur, la signification du gras n’a cessé d’évoluer. A l’origine symbole d’opulence, de santé, de puissance, l’embonpoint est aujourd’hui assimilé à une preuve de mollesse et d’inertie, et la société stigmatise ce qui apparaît comme l’échec inacceptable de la volonté. En retraçant la genèse d’une obsession contemporaine, Georges Vigarello élabore avec beaucoup de finesse une histoire des sensibilités à travers les âges.
Derrière des portraits de gloutons hauts en couleur, l’inventaire des techniques d’amincissement ou l’autopsie des corps adipeux, il montre que la dictature de l’apparence est fort ancienne – et multiforme. Une oeuvre salutaire à l’heure où la question de l’obésité est devenue une question de santé publique et où des voix toujours plus nombreuses s’élèvent contre la maigreur érigée en idéal par l’industrie de la mode.
Derrière des portraits de gloutons hauts en couleur, l’inventaire des techniques d’amincissement ou l’autopsie des corps adipeux, il montre que la dictature de l’apparence est fort ancienne – et multiforme. Une oeuvre salutaire à l’heure où la question de l’obésité est devenue une question de santé publique et où des voix toujours plus nombreuses s’élèvent contre la maigreur érigée en idéal par l’industrie de la mode.
Des cuisses potelées de la Vénus de Boticelli à la dictature contemporaine de la minceur, la signification du gras n’a cessé d’évoluer. A l’origine symbole d’opulence, de santé, de puissance, l’embonpoint est aujourd’hui assimilé à une preuve de mollesse et d’inertie, et la société stigmatise ce qui apparaît comme l’échec inacceptable de la volonté. En retraçant la genèse d’une obsession contemporaine, Georges Vigarello élabore avec beaucoup de finesse une histoire des sensibilités à travers les âges.
Derrière des portraits de gloutons hauts en couleur, l’inventaire des techniques d’amincissement ou l’autopsie des corps adipeux, il montre que la dictature de l’apparence est fort ancienne – et multiforme. Une oeuvre salutaire à l’heure où la question de l’obésité est devenue une question de santé publique et où des voix toujours plus nombreuses s’élèvent contre la maigreur érigée en idéal par l’industrie de la mode.
Derrière des portraits de gloutons hauts en couleur, l’inventaire des techniques d’amincissement ou l’autopsie des corps adipeux, il montre que la dictature de l’apparence est fort ancienne – et multiforme. Une oeuvre salutaire à l’heure où la question de l’obésité est devenue une question de santé publique et où des voix toujours plus nombreuses s’élèvent contre la maigreur érigée en idéal par l’industrie de la mode.