Les médecins de l'ULB dans la tourmente 1914-1918

Par : Robert Mayer
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages172
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.72 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-8070-0017-9
  • EAN9782807000179
  • Date de parution30/11/2016
  • CollectionMusée de la médecine
  • ÉditeurMEO (Editions)

Résumé

En août 1914, les étudiants, le personnel universitaire et les anciens étudiants furent mobilisés. L'université catholique fut détruite lors du sac de Louvain. Les autres universités (Liège, Gand et Bruxelles) décidèrent de fermer leurs portes et refusèrent de rouvrir jusqu'à la fin du conflit. Les médecins et étudiants en médecine, par leur compétence professionnelle, eurent un rôle particulier à jouer au service des soins, tout autant des militaires blessés par les obus et la mitraille, intoxiqués par les gaz de combat ou rongés par la boue des tranchées et les épidémies, que des populations civiles victimes des bombardements, des exactions de l'occupant, du rationnement et de la malnutrition.
A l'occasion du 100e anniversaire de ce qui fut le grand massacre à l'échelon mondial de l'histoire de l'humanité, sous les auspices du Musée de la Médecine de l'U. L. B. , quelques volontaires, emmenés par Raymond Mayer, ont voulu évoquer divers aspects de ce que fut la contribution de la Faculté de Médecine de l'U. L. B. à la médecine de la Grande Guerre. On y verra, à côté des actes de bravoure, que quelques fortes personnalités ont su préserver l'esprit universitaire en associant à leur pratique clinique l'enseignement et la recherche et en réfléchissant à ce que devrait être l'enseignement de la médecine à l'issue de la guerre.
En août 1914, les étudiants, le personnel universitaire et les anciens étudiants furent mobilisés. L'université catholique fut détruite lors du sac de Louvain. Les autres universités (Liège, Gand et Bruxelles) décidèrent de fermer leurs portes et refusèrent de rouvrir jusqu'à la fin du conflit. Les médecins et étudiants en médecine, par leur compétence professionnelle, eurent un rôle particulier à jouer au service des soins, tout autant des militaires blessés par les obus et la mitraille, intoxiqués par les gaz de combat ou rongés par la boue des tranchées et les épidémies, que des populations civiles victimes des bombardements, des exactions de l'occupant, du rationnement et de la malnutrition.
A l'occasion du 100e anniversaire de ce qui fut le grand massacre à l'échelon mondial de l'histoire de l'humanité, sous les auspices du Musée de la Médecine de l'U. L. B. , quelques volontaires, emmenés par Raymond Mayer, ont voulu évoquer divers aspects de ce que fut la contribution de la Faculté de Médecine de l'U. L. B. à la médecine de la Grande Guerre. On y verra, à côté des actes de bravoure, que quelques fortes personnalités ont su préserver l'esprit universitaire en associant à leur pratique clinique l'enseignement et la recherche et en réfléchissant à ce que devrait être l'enseignement de la médecine à l'issue de la guerre.
Supernormal
5/5
Robert Mayer
Poche
8,00 €
Supernormal
5/5
Robert Mayer
Grand Format
21,00 €