Les marxistes et la religion. Essai sur l'athéisme moderne - Nouvelle édition : avant propos de l'auteur, deux textes sur la laïcité et l'utopie
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- Poids0.405 kg
- Dimensions135,0 cm × 215,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-296-99338-9
- EAN9782296993389
- Date de parution01/10/2012
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ici, la quatrième édition, 50 ans après la première, d'un texte qui connut alors en France, et dans les terres catholiques — Italie, Espagne, Pologne, Hongrie, Mexique — une audience de curiosité et d'interrogation réciproques, un partenariat même de dialogue. Le propos du livre était, au-delà d'une critique "athéologique" de comprendre ce qui sans Dieu, si Dieu n'existait pas, pouvait faire le fondement de la religion — la transcendance métaphysique rapportée aux transcendances sociales, où s'aliénaient les impuissances humaines.
Qu'on pût vivre autrement qu'en Dieu, une vie sans Dieu, qui ne perdrait rien de ce que l'humanité avait pu épanouir d'elle-même dans l'horizon religieux, c'était la seconde partie du livre. la troisième proposait, sur le constat des partages d'humanité entre incroyance et croyance, le pari d'une tolérance réciproque, laissant à l'histoire le soin de trancher entre elles. L'effondrement du monde communiste et le retour en force des intégrismes religieux ont changé depuis la donne d'un monde rendu au monopole capitaliste, mais où le travail de l'Universel devient aussi la tâche de l'Espèce.
Des alliances nouvelles de réflexion et d'action ne s'ouvrent-elles pas là aux Universels désunis pour réélaborer les vieilles questions de laïcité, de l'utopie, de la révolution, du communisme ? Le marxisme n'aurait-il pas à s'expliquer avec lui-même sur les illusions qui nourrirent son "utopisme du présent" sur l'ainsi dit "socialisme réel" ? Ancien texte, nouvelles questions — c'est le sens de cette réédition.
Qu'on pût vivre autrement qu'en Dieu, une vie sans Dieu, qui ne perdrait rien de ce que l'humanité avait pu épanouir d'elle-même dans l'horizon religieux, c'était la seconde partie du livre. la troisième proposait, sur le constat des partages d'humanité entre incroyance et croyance, le pari d'une tolérance réciproque, laissant à l'histoire le soin de trancher entre elles. L'effondrement du monde communiste et le retour en force des intégrismes religieux ont changé depuis la donne d'un monde rendu au monopole capitaliste, mais où le travail de l'Universel devient aussi la tâche de l'Espèce.
Des alliances nouvelles de réflexion et d'action ne s'ouvrent-elles pas là aux Universels désunis pour réélaborer les vieilles questions de laïcité, de l'utopie, de la révolution, du communisme ? Le marxisme n'aurait-il pas à s'expliquer avec lui-même sur les illusions qui nourrirent son "utopisme du présent" sur l'ainsi dit "socialisme réel" ? Ancien texte, nouvelles questions — c'est le sens de cette réédition.
Ici, la quatrième édition, 50 ans après la première, d'un texte qui connut alors en France, et dans les terres catholiques — Italie, Espagne, Pologne, Hongrie, Mexique — une audience de curiosité et d'interrogation réciproques, un partenariat même de dialogue. Le propos du livre était, au-delà d'une critique "athéologique" de comprendre ce qui sans Dieu, si Dieu n'existait pas, pouvait faire le fondement de la religion — la transcendance métaphysique rapportée aux transcendances sociales, où s'aliénaient les impuissances humaines.
Qu'on pût vivre autrement qu'en Dieu, une vie sans Dieu, qui ne perdrait rien de ce que l'humanité avait pu épanouir d'elle-même dans l'horizon religieux, c'était la seconde partie du livre. la troisième proposait, sur le constat des partages d'humanité entre incroyance et croyance, le pari d'une tolérance réciproque, laissant à l'histoire le soin de trancher entre elles. L'effondrement du monde communiste et le retour en force des intégrismes religieux ont changé depuis la donne d'un monde rendu au monopole capitaliste, mais où le travail de l'Universel devient aussi la tâche de l'Espèce.
Des alliances nouvelles de réflexion et d'action ne s'ouvrent-elles pas là aux Universels désunis pour réélaborer les vieilles questions de laïcité, de l'utopie, de la révolution, du communisme ? Le marxisme n'aurait-il pas à s'expliquer avec lui-même sur les illusions qui nourrirent son "utopisme du présent" sur l'ainsi dit "socialisme réel" ? Ancien texte, nouvelles questions — c'est le sens de cette réédition.
Qu'on pût vivre autrement qu'en Dieu, une vie sans Dieu, qui ne perdrait rien de ce que l'humanité avait pu épanouir d'elle-même dans l'horizon religieux, c'était la seconde partie du livre. la troisième proposait, sur le constat des partages d'humanité entre incroyance et croyance, le pari d'une tolérance réciproque, laissant à l'histoire le soin de trancher entre elles. L'effondrement du monde communiste et le retour en force des intégrismes religieux ont changé depuis la donne d'un monde rendu au monopole capitaliste, mais où le travail de l'Universel devient aussi la tâche de l'Espèce.
Des alliances nouvelles de réflexion et d'action ne s'ouvrent-elles pas là aux Universels désunis pour réélaborer les vieilles questions de laïcité, de l'utopie, de la révolution, du communisme ? Le marxisme n'aurait-il pas à s'expliquer avec lui-même sur les illusions qui nourrirent son "utopisme du présent" sur l'ainsi dit "socialisme réel" ? Ancien texte, nouvelles questions — c'est le sens de cette réédition.