Les marques particulières des navires de guerre français (1900-1950)
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- Nombre de pages210
- Poids1.115 kg
- Dimensions21,3 cm × 30,3 cm × 2,7 cm
- ISBN2-11-128960-4
- EAN9782111289604
- Date de parution01/06/2002
- ÉditeurService historique de la Marine
Résumé
Né le 9 avril 1922 à Belleville-sur-Saône (Rhône), Jean Guiglini aurait aimé devenir officier de Marine. Les événements en décidèrent autrement et il prépara Saint-Cyr. En juillet 1943, il s'évada de France par l'Espagne pour rejoindre le Maroc où il s'engagea à la 2e DB. Après toute une carrière dans l'Arme Blindée, il prit sa retraite en 1972 avec le grade de colonel. Depuis son adolescence, il a consacré une partie de ses loisirs à l'étude des navires de guerre et à sa passion de modéliste qui lui a permis de réaliser plus de cent modèles de navires à l'échelle 1/500.
Auteur de nombreuses études sur la Marine, il a écrit des articles pour Le modèle réduit de bateaux, Neptunia, la Revue historique des Armées, La Baille et Warship International, articles dont le sérieux est internationalement reconnu. Par ailleurs, dès 1980, il a publié avec Robert Dumas un ouvrage de base, Les cuirassés français de 23 500 tonnes, précurseur et modèle pour la France des études techniques et historiques sur un type donné de navire de guerre.
Depuis, il a publié avec Albert Moreau, en 1993, Les croiseurs de 8 000 tonnes et, en 1999, Les croiseurs Jeanne d' Arc et Pluton, tous deux parus chez Marine éditions. L'étude présentée dans cet ouvrage a demandé à son auteur plus de vingt-cinq ans de recherches sur un sujet qui n'avait encore été jamais été traité par les historiens. Elle comporte une vaste analyse des différents systèmes de marques particulières (symboles de coque et bandes ou anneaux de cheminées) utilisées depuis le début du XXe siècle jusqu'à la codification à l'échelon des grandes marines de l'Europe occidentale au début des années 1950.
Outre les marques particulières de tous les navires, du cuirassé à la canonnière, on y trouve de nombreux renseignements disséminés dans des fonds d'archives très différents tels que : l'organisation des escadres et des flottilles, les noms des officiers généraux embarqués avec les dates correspondantes, les dates d'armement pour essais et d'admission au service actif de la plupart des bâtiments des programmes de 1922 à 1940, les dates de cession à la Marine françaises de bâtiments étrangers, etc.
Enfin, ce travail permet non seulement de reconnaître les bâtiments d'un même type mais aussi de dater avec une certaine précision les photographies des navires de cette époque.
Auteur de nombreuses études sur la Marine, il a écrit des articles pour Le modèle réduit de bateaux, Neptunia, la Revue historique des Armées, La Baille et Warship International, articles dont le sérieux est internationalement reconnu. Par ailleurs, dès 1980, il a publié avec Robert Dumas un ouvrage de base, Les cuirassés français de 23 500 tonnes, précurseur et modèle pour la France des études techniques et historiques sur un type donné de navire de guerre.
Depuis, il a publié avec Albert Moreau, en 1993, Les croiseurs de 8 000 tonnes et, en 1999, Les croiseurs Jeanne d' Arc et Pluton, tous deux parus chez Marine éditions. L'étude présentée dans cet ouvrage a demandé à son auteur plus de vingt-cinq ans de recherches sur un sujet qui n'avait encore été jamais été traité par les historiens. Elle comporte une vaste analyse des différents systèmes de marques particulières (symboles de coque et bandes ou anneaux de cheminées) utilisées depuis le début du XXe siècle jusqu'à la codification à l'échelon des grandes marines de l'Europe occidentale au début des années 1950.
Outre les marques particulières de tous les navires, du cuirassé à la canonnière, on y trouve de nombreux renseignements disséminés dans des fonds d'archives très différents tels que : l'organisation des escadres et des flottilles, les noms des officiers généraux embarqués avec les dates correspondantes, les dates d'armement pour essais et d'admission au service actif de la plupart des bâtiments des programmes de 1922 à 1940, les dates de cession à la Marine françaises de bâtiments étrangers, etc.
Enfin, ce travail permet non seulement de reconnaître les bâtiments d'un même type mais aussi de dater avec une certaine précision les photographies des navires de cette époque.
Né le 9 avril 1922 à Belleville-sur-Saône (Rhône), Jean Guiglini aurait aimé devenir officier de Marine. Les événements en décidèrent autrement et il prépara Saint-Cyr. En juillet 1943, il s'évada de France par l'Espagne pour rejoindre le Maroc où il s'engagea à la 2e DB. Après toute une carrière dans l'Arme Blindée, il prit sa retraite en 1972 avec le grade de colonel. Depuis son adolescence, il a consacré une partie de ses loisirs à l'étude des navires de guerre et à sa passion de modéliste qui lui a permis de réaliser plus de cent modèles de navires à l'échelle 1/500.
Auteur de nombreuses études sur la Marine, il a écrit des articles pour Le modèle réduit de bateaux, Neptunia, la Revue historique des Armées, La Baille et Warship International, articles dont le sérieux est internationalement reconnu. Par ailleurs, dès 1980, il a publié avec Robert Dumas un ouvrage de base, Les cuirassés français de 23 500 tonnes, précurseur et modèle pour la France des études techniques et historiques sur un type donné de navire de guerre.
Depuis, il a publié avec Albert Moreau, en 1993, Les croiseurs de 8 000 tonnes et, en 1999, Les croiseurs Jeanne d' Arc et Pluton, tous deux parus chez Marine éditions. L'étude présentée dans cet ouvrage a demandé à son auteur plus de vingt-cinq ans de recherches sur un sujet qui n'avait encore été jamais été traité par les historiens. Elle comporte une vaste analyse des différents systèmes de marques particulières (symboles de coque et bandes ou anneaux de cheminées) utilisées depuis le début du XXe siècle jusqu'à la codification à l'échelon des grandes marines de l'Europe occidentale au début des années 1950.
Outre les marques particulières de tous les navires, du cuirassé à la canonnière, on y trouve de nombreux renseignements disséminés dans des fonds d'archives très différents tels que : l'organisation des escadres et des flottilles, les noms des officiers généraux embarqués avec les dates correspondantes, les dates d'armement pour essais et d'admission au service actif de la plupart des bâtiments des programmes de 1922 à 1940, les dates de cession à la Marine françaises de bâtiments étrangers, etc.
Enfin, ce travail permet non seulement de reconnaître les bâtiments d'un même type mais aussi de dater avec une certaine précision les photographies des navires de cette époque.
Auteur de nombreuses études sur la Marine, il a écrit des articles pour Le modèle réduit de bateaux, Neptunia, la Revue historique des Armées, La Baille et Warship International, articles dont le sérieux est internationalement reconnu. Par ailleurs, dès 1980, il a publié avec Robert Dumas un ouvrage de base, Les cuirassés français de 23 500 tonnes, précurseur et modèle pour la France des études techniques et historiques sur un type donné de navire de guerre.
Depuis, il a publié avec Albert Moreau, en 1993, Les croiseurs de 8 000 tonnes et, en 1999, Les croiseurs Jeanne d' Arc et Pluton, tous deux parus chez Marine éditions. L'étude présentée dans cet ouvrage a demandé à son auteur plus de vingt-cinq ans de recherches sur un sujet qui n'avait encore été jamais été traité par les historiens. Elle comporte une vaste analyse des différents systèmes de marques particulières (symboles de coque et bandes ou anneaux de cheminées) utilisées depuis le début du XXe siècle jusqu'à la codification à l'échelon des grandes marines de l'Europe occidentale au début des années 1950.
Outre les marques particulières de tous les navires, du cuirassé à la canonnière, on y trouve de nombreux renseignements disséminés dans des fonds d'archives très différents tels que : l'organisation des escadres et des flottilles, les noms des officiers généraux embarqués avec les dates correspondantes, les dates d'armement pour essais et d'admission au service actif de la plupart des bâtiments des programmes de 1922 à 1940, les dates de cession à la Marine françaises de bâtiments étrangers, etc.
Enfin, ce travail permet non seulement de reconnaître les bâtiments d'un même type mais aussi de dater avec une certaine précision les photographies des navires de cette époque.