Les littératures trash du Québec
Par : ,Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages226
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-7663-0349-6
- EAN9782766303496
- Date de parution26/08/2025
- CollectionLittérature et imaginaire cont
- ÉditeurPresses de l'Université Laval
Résumé
Cet ouvrage collectif part de l'idée suivante : la Révolution tranquille ne donne pas directement naissance à la trashitude, mais permet à cette dernière de devenir une possibilité esthétique dans le paysage culturel québécois. L'affirmation nationale, le détachement du puissant joug culturel européen, l'acceptation plus nette de l'américanité des modes de vie et de l'espace socioéconomique qui est propre au Québec accélèrent la prise de conscience d'une identité québécoise hautement distincte qui pourrait se manifester à l'extérieur à la fois du folklore et de la sacro-sainte influence parisienne, pour dès lors s'incarner dans une littérature vivante qui manifeste un ancrage spécifique à son territoire et à son histoire.
Si l'on conçoit le trash littéraire comme une catégorie esthétique qui appartient en propre à l'espace nord-américain et qui cadre davantage avec ses us et coutumes, le Québec devait d'abord s'accepter comme un naufragé de l'aventure coloniale, échoué aux extrémités du territoire culturel américain, pour qu'une partie importante de sa réalité puisse se transposer dans la trashitude. C'est justement à l'étude de ces différentes formes littéraires du trash québécois que s'intéresse le présent ouvrage.
Si l'on conçoit le trash littéraire comme une catégorie esthétique qui appartient en propre à l'espace nord-américain et qui cadre davantage avec ses us et coutumes, le Québec devait d'abord s'accepter comme un naufragé de l'aventure coloniale, échoué aux extrémités du territoire culturel américain, pour qu'une partie importante de sa réalité puisse se transposer dans la trashitude. C'est justement à l'étude de ces différentes formes littéraires du trash québécois que s'intéresse le présent ouvrage.
Cet ouvrage collectif part de l'idée suivante : la Révolution tranquille ne donne pas directement naissance à la trashitude, mais permet à cette dernière de devenir une possibilité esthétique dans le paysage culturel québécois. L'affirmation nationale, le détachement du puissant joug culturel européen, l'acceptation plus nette de l'américanité des modes de vie et de l'espace socioéconomique qui est propre au Québec accélèrent la prise de conscience d'une identité québécoise hautement distincte qui pourrait se manifester à l'extérieur à la fois du folklore et de la sacro-sainte influence parisienne, pour dès lors s'incarner dans une littérature vivante qui manifeste un ancrage spécifique à son territoire et à son histoire.
Si l'on conçoit le trash littéraire comme une catégorie esthétique qui appartient en propre à l'espace nord-américain et qui cadre davantage avec ses us et coutumes, le Québec devait d'abord s'accepter comme un naufragé de l'aventure coloniale, échoué aux extrémités du territoire culturel américain, pour qu'une partie importante de sa réalité puisse se transposer dans la trashitude. C'est justement à l'étude de ces différentes formes littéraires du trash québécois que s'intéresse le présent ouvrage.
Si l'on conçoit le trash littéraire comme une catégorie esthétique qui appartient en propre à l'espace nord-américain et qui cadre davantage avec ses us et coutumes, le Québec devait d'abord s'accepter comme un naufragé de l'aventure coloniale, échoué aux extrémités du territoire culturel américain, pour qu'une partie importante de sa réalité puisse se transposer dans la trashitude. C'est justement à l'étude de ces différentes formes littéraires du trash québécois que s'intéresse le présent ouvrage.













