Les limites sociales de la croissance

Par : Fred Hirsch
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  • Nombre de pages340
  • PrésentationBroché
  • Poids0.416 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-36383-207-8
  • EAN9782363832078
  • Date de parution12/05/2016
  • ÉditeurLes Petits Matins
  • TraducteurBaptiste Mylondo
  • PréfacierJean Gadrey

Résumé

Pourquoi la croissance économique échoue-t-elle à nous rendre plus heureux aujourd'hui ? C'est à cette question, soulevée par l'économiste Richard Easterlin, que Fred Hirsch répond en 1976. Alors que les limites physiques et écologiques de la croissance sont de plus en plus médiatisées, on méconnaît l'existence de limites sociales, qui expliquent ce " paradoxe de l'abondance ". Dans une foule, si chacun se dresse sur la pointe des pieds dans l'espoir de voir mieux que les autres, le résultat final équivaut à la situation de départ...
les crampes en plus. En fin de compte personne ne voit mieux, mais tout le monde s'épuise sur la pointe des pieds. Voilà la thèse centrale du livre. Loin de vaincre la rareté, la croissance économique génère une pénurie et une compétition sociale généralisées. Chacun s'efforce de dépasser les autres pour obtenir les biens les plus recherchés, ceux dont la rareté est socialement entretenue. Or, ce chacun veut, tous ne peuvent l'obtenir.
Pourquoi la croissance économique échoue-t-elle à nous rendre plus heureux aujourd'hui ? C'est à cette question, soulevée par l'économiste Richard Easterlin, que Fred Hirsch répond en 1976. Alors que les limites physiques et écologiques de la croissance sont de plus en plus médiatisées, on méconnaît l'existence de limites sociales, qui expliquent ce " paradoxe de l'abondance ". Dans une foule, si chacun se dresse sur la pointe des pieds dans l'espoir de voir mieux que les autres, le résultat final équivaut à la situation de départ...
les crampes en plus. En fin de compte personne ne voit mieux, mais tout le monde s'épuise sur la pointe des pieds. Voilà la thèse centrale du livre. Loin de vaincre la rareté, la croissance économique génère une pénurie et une compétition sociale généralisées. Chacun s'efforce de dépasser les autres pour obtenir les biens les plus recherchés, ceux dont la rareté est socialement entretenue. Or, ce chacun veut, tous ne peuvent l'obtenir.