Les Lentilles Vertes

Par : Henri-Antoine Verdier
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages353
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-84494-011-0
  • EAN9782844940117
  • Date de parution09/11/1999
  • ÉditeurDe Borée

Résumé

Mme de Sévigné écrivait : " Nous descendons tous de la charrue ". Pour Henri Verdier, la charrue, c'était hier. À tel point que ces mémoires d'un petit paysan du Velay, vous aurez sûrement l'impression que ce sont les vôtres, celles de vos parents peut-être ou de vos grands-parents. Henri Antoine Verdier est né en 1911 à Taulhac, à quelques kilomètres du Puy, dans une famille de paysans. Le Velay de ce temps-là est une terre de petite agriculture "à bras" et de religion. La fin de la première guerre mondiale marque un renouveau dans les campagnes, la vie commence à changer avec l'arrivée de l'électricité et plus tard de l'eau aux bornes-fontaines, les troupeaux s'agrandissent et les revenus du lait et des lentilles progressent, la machine -à vapeur transforme les battages puis la faucheuse les moissons. Cette société en pleine évolution est évoquée par de courts tableaux, au fil du temps et de la plume de l'auteur. Il évoque ainsi l'école, la ferme, les béates et les petits métiers, les ambulants, les travaux des champs et les animaux, semant un chapelet d'anecdotes. Un document remarquable sur la vie rurale du Velay dans la première partie de ce siècle.
Mme de Sévigné écrivait : " Nous descendons tous de la charrue ". Pour Henri Verdier, la charrue, c'était hier. À tel point que ces mémoires d'un petit paysan du Velay, vous aurez sûrement l'impression que ce sont les vôtres, celles de vos parents peut-être ou de vos grands-parents. Henri Antoine Verdier est né en 1911 à Taulhac, à quelques kilomètres du Puy, dans une famille de paysans. Le Velay de ce temps-là est une terre de petite agriculture "à bras" et de religion. La fin de la première guerre mondiale marque un renouveau dans les campagnes, la vie commence à changer avec l'arrivée de l'électricité et plus tard de l'eau aux bornes-fontaines, les troupeaux s'agrandissent et les revenus du lait et des lentilles progressent, la machine -à vapeur transforme les battages puis la faucheuse les moissons. Cette société en pleine évolution est évoquée par de courts tableaux, au fil du temps et de la plume de l'auteur. Il évoque ainsi l'école, la ferme, les béates et les petits métiers, les ambulants, les travaux des champs et les animaux, semant un chapelet d'anecdotes. Un document remarquable sur la vie rurale du Velay dans la première partie de ce siècle.