Les "Justes" face au génocide des Arméniens
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- Nombre de pages420
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.76 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-905686-95-4
- EAN9782905686954
- Date de parution01/10/2024
- ÉditeurEditions Kirk
- PréfacierVincent Duclert
Résumé
Les "Justes" face au génocide des Arméniens que propose à notre réflexion Hilda Kalfayan-Panossian, est un hommage rendu à tous ceux qui ont hébergé, secouru, soigné des milliers d'Arméniens voués en 1915 à une mort programmée. Missionnaires, aumoniers, diplomates ou personnalités de la vie civile, ils sont Suédois, Danois, Norvégiens, Suisses, Américains, Français, qui ont agi avec un dévouement et une humilité exemplaires.
De ce point de vue, il faut saluer la généreuse abnégation du Suisse Krafft-Bonnard, de la missionnaire danoise Karen Jeppe, du curé français Jules Chaperon, le courage d'Armin Wegner, un officier de santé allemand photographiant discrètement des scènes insoutenables de meurtres de masse, des exécutions réalisées sous le regard complice d'une Allemagne qui savait tout mais ne faisait rien pour les empêcher.
Une grande partie de l'ouvrage est consacrée aux Justes turcs. Bravant les décisions des Jeunes-Turcs et parfois au péril de leur vie, ils ont refusé d'appliquer les "ordres de tuer", à l'image de Fayez El-Ghosein, capitaine dans l'armée ottomane ou du Vali d'Angora, Hasan Mazhar Bey. A ces Justes d'hier, il faut également ajouter les Justes turcs d'aujourd'hui. Ils sont sans doute encore trop peu nombreux, mais leurs voix commencent à se faire entendre, que ce soit de leur lieu d'exil, comme celle de Orhan Pamouk, prix Nobel de Littérature, de l'historien Taner Akçam ou du philosophe Ahmet Insel, du fond de sa prison à Istanbul par l'admirable Osman Kavala, condamné à perpétuité, ou des signataires d'un Appel au Pardon salvateur.
Seront-ils entendus ?
De ce point de vue, il faut saluer la généreuse abnégation du Suisse Krafft-Bonnard, de la missionnaire danoise Karen Jeppe, du curé français Jules Chaperon, le courage d'Armin Wegner, un officier de santé allemand photographiant discrètement des scènes insoutenables de meurtres de masse, des exécutions réalisées sous le regard complice d'une Allemagne qui savait tout mais ne faisait rien pour les empêcher.
Une grande partie de l'ouvrage est consacrée aux Justes turcs. Bravant les décisions des Jeunes-Turcs et parfois au péril de leur vie, ils ont refusé d'appliquer les "ordres de tuer", à l'image de Fayez El-Ghosein, capitaine dans l'armée ottomane ou du Vali d'Angora, Hasan Mazhar Bey. A ces Justes d'hier, il faut également ajouter les Justes turcs d'aujourd'hui. Ils sont sans doute encore trop peu nombreux, mais leurs voix commencent à se faire entendre, que ce soit de leur lieu d'exil, comme celle de Orhan Pamouk, prix Nobel de Littérature, de l'historien Taner Akçam ou du philosophe Ahmet Insel, du fond de sa prison à Istanbul par l'admirable Osman Kavala, condamné à perpétuité, ou des signataires d'un Appel au Pardon salvateur.
Seront-ils entendus ?
Les "Justes" face au génocide des Arméniens que propose à notre réflexion Hilda Kalfayan-Panossian, est un hommage rendu à tous ceux qui ont hébergé, secouru, soigné des milliers d'Arméniens voués en 1915 à une mort programmée. Missionnaires, aumoniers, diplomates ou personnalités de la vie civile, ils sont Suédois, Danois, Norvégiens, Suisses, Américains, Français, qui ont agi avec un dévouement et une humilité exemplaires.
De ce point de vue, il faut saluer la généreuse abnégation du Suisse Krafft-Bonnard, de la missionnaire danoise Karen Jeppe, du curé français Jules Chaperon, le courage d'Armin Wegner, un officier de santé allemand photographiant discrètement des scènes insoutenables de meurtres de masse, des exécutions réalisées sous le regard complice d'une Allemagne qui savait tout mais ne faisait rien pour les empêcher.
Une grande partie de l'ouvrage est consacrée aux Justes turcs. Bravant les décisions des Jeunes-Turcs et parfois au péril de leur vie, ils ont refusé d'appliquer les "ordres de tuer", à l'image de Fayez El-Ghosein, capitaine dans l'armée ottomane ou du Vali d'Angora, Hasan Mazhar Bey. A ces Justes d'hier, il faut également ajouter les Justes turcs d'aujourd'hui. Ils sont sans doute encore trop peu nombreux, mais leurs voix commencent à se faire entendre, que ce soit de leur lieu d'exil, comme celle de Orhan Pamouk, prix Nobel de Littérature, de l'historien Taner Akçam ou du philosophe Ahmet Insel, du fond de sa prison à Istanbul par l'admirable Osman Kavala, condamné à perpétuité, ou des signataires d'un Appel au Pardon salvateur.
Seront-ils entendus ?
De ce point de vue, il faut saluer la généreuse abnégation du Suisse Krafft-Bonnard, de la missionnaire danoise Karen Jeppe, du curé français Jules Chaperon, le courage d'Armin Wegner, un officier de santé allemand photographiant discrètement des scènes insoutenables de meurtres de masse, des exécutions réalisées sous le regard complice d'une Allemagne qui savait tout mais ne faisait rien pour les empêcher.
Une grande partie de l'ouvrage est consacrée aux Justes turcs. Bravant les décisions des Jeunes-Turcs et parfois au péril de leur vie, ils ont refusé d'appliquer les "ordres de tuer", à l'image de Fayez El-Ghosein, capitaine dans l'armée ottomane ou du Vali d'Angora, Hasan Mazhar Bey. A ces Justes d'hier, il faut également ajouter les Justes turcs d'aujourd'hui. Ils sont sans doute encore trop peu nombreux, mais leurs voix commencent à se faire entendre, que ce soit de leur lieu d'exil, comme celle de Orhan Pamouk, prix Nobel de Littérature, de l'historien Taner Akçam ou du philosophe Ahmet Insel, du fond de sa prison à Istanbul par l'admirable Osman Kavala, condamné à perpétuité, ou des signataires d'un Appel au Pardon salvateur.
Seront-ils entendus ?