Les jours noirs. Nous nous retrouverons à Saint-Pétersbourg
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- Nombre de pages81
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.11 kg
- Dimensions12,5 cm × 20,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-36308-198-8
- EAN9782363081988
- Date de parution29/08/2019
- CollectionLa rencontre
- ÉditeurArléa
Résumé
Lorsque Brice Matthieussent débarque pour quelques jours, dans un cadre universitaire, à Saint-Pétersbourg, il ne sait rien de la ville. Et même il a pris soin de ne pas s'informer. Sa rêverie et sa lucidité n'en seront que plus intenses. Ce qui se donne à lui, loin des Nuits blanches de Dostoïevski qui rôde dans ce texte merveilleusement, ce sont des passants lourdement vêtus, toque de fourrure et col relevé, réunis autour d'un brasero ; des chiens errants dans les ombres ; la lueur saccadée des lampadaires défectueux ; une main jaillit des ténèbres pour mendier et des jeunes filles belles comme dans les James Bond ; un inoubliable chauffeur de taxi bavard et brisé, la gravité de sa voix indignée ; une étourdissante nausée du faux neuf et la ferveur de jeunes étudiantes lisant des poèmes exaltées et mélancoliques.
On ne présente plus Brice Matthieussent qui nous a donné " l'Amérique " en éditant et traduisant des milliers de pages des auteurs majeurs des Etats-Unis (Jim Harrison, John Fante...), mais on le découvre ici sous un jour plus intime, fondamentalement sincère et émouvant.
On ne présente plus Brice Matthieussent qui nous a donné " l'Amérique " en éditant et traduisant des milliers de pages des auteurs majeurs des Etats-Unis (Jim Harrison, John Fante...), mais on le découvre ici sous un jour plus intime, fondamentalement sincère et émouvant.
Lorsque Brice Matthieussent débarque pour quelques jours, dans un cadre universitaire, à Saint-Pétersbourg, il ne sait rien de la ville. Et même il a pris soin de ne pas s'informer. Sa rêverie et sa lucidité n'en seront que plus intenses. Ce qui se donne à lui, loin des Nuits blanches de Dostoïevski qui rôde dans ce texte merveilleusement, ce sont des passants lourdement vêtus, toque de fourrure et col relevé, réunis autour d'un brasero ; des chiens errants dans les ombres ; la lueur saccadée des lampadaires défectueux ; une main jaillit des ténèbres pour mendier et des jeunes filles belles comme dans les James Bond ; un inoubliable chauffeur de taxi bavard et brisé, la gravité de sa voix indignée ; une étourdissante nausée du faux neuf et la ferveur de jeunes étudiantes lisant des poèmes exaltées et mélancoliques.
On ne présente plus Brice Matthieussent qui nous a donné " l'Amérique " en éditant et traduisant des milliers de pages des auteurs majeurs des Etats-Unis (Jim Harrison, John Fante...), mais on le découvre ici sous un jour plus intime, fondamentalement sincère et émouvant.
On ne présente plus Brice Matthieussent qui nous a donné " l'Amérique " en éditant et traduisant des milliers de pages des auteurs majeurs des Etats-Unis (Jim Harrison, John Fante...), mais on le découvre ici sous un jour plus intime, fondamentalement sincère et émouvant.