" Depuis cent ans les voyageurs en Italie ont jeté sur le papier et semé sur leur route beaucoup de malédictions contre le mauvais goût des villégiatures. " Dans ces pages de 1855, George Sand rêve à la civilisation engloutie qui a créé les grands décors de verdure, de pierre et d'eau aujourd'hui désertés, et dénonce la mise à mort des vieilles forêts par l'exploitation moderne, dans une Italie accablée de culture et calcinée de soleil, à laquelle elle préfère les aménités plus modestes, mais aussi plus attachantes, d'un Berry qui a su préserver son visage originel.
" Depuis cent ans les voyageurs en Italie ont jeté sur le papier et semé sur leur route beaucoup de malédictions contre le mauvais goût des villégiatures. " Dans ces pages de 1855, George Sand rêve à la civilisation engloutie qui a créé les grands décors de verdure, de pierre et d'eau aujourd'hui désertés, et dénonce la mise à mort des vieilles forêts par l'exploitation moderne, dans une Italie accablée de culture et calcinée de soleil, à laquelle elle préfère les aménités plus modestes, mais aussi plus attachantes, d'un Berry qui a su préserver son visage originel.