Je ne me reconnais plus. Un dimanche, même pas gris, devant la télé, même pas Arte, je découvre chez Michel Drucker, Mazarine et sa Joséphine, héroïne de son dernier roman.
C'est l'auteure plus que le livre qui m'attire et me séduit. Une femme solaire, belle, intelligente, au langage fluide et précis, vive et drôle.
Joséphine est toujours en activité, ses pensées du moins. Elle souffre d'angoisses à communiquer, elle est empêtrée dans une rupture avec son ex-mari, elle imagine sans cesse les différents scénarios qui loin de l'aider à faire des choix, la paralyse. Elle souffre d'un manque d'un manque d'estime d'elle-même dont sa mère a la clé.
La fin est heureuse et ce roman drôle, intime, léger est une belle découverte.
Je ne me reconnais plus. Un dimanche, même pas gris, devant la télé, même pas Arte, je découvre chez Michel Drucker, Mazarine et sa Joséphine, héroïne de son dernier roman.
C'est l'auteure plus que le livre qui m'attire et me séduit. Une femme solaire, belle, intelligente, au langage fluide et précis, vive et drôle.
Joséphine est toujours en activité, ses pensées du moins. Elle souffre d'angoisses à communiquer, elle est empêtrée dans une rupture avec son ex-mari, elle imagine sans cesse les différents scénarios qui loin de l'aider à faire des choix, la paralyse. Elle souffre d'un manque d'un manque d'estime d'elle-même dont sa mère a la clé.
La fin est heureuse et ce roman drôle, intime, léger est une belle découverte.