Les institutions politiques françaises
2e édition
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- Nombre de pages514
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.835 kg
- Dimensions17,0 cm × 22,9 cm × 2,9 cm
- ISBN2-7246-0665-5
- EAN9782724606652
- Date de parution01/01/1995
- CollectionAmphi - Dalloz
- ÉditeurSciences Po (Les Presses de)
Résumé
Cet ouvrage a été édité pour la première fois en 1985. Au nombre de deux il y a dix ans, ses auteurs sont trois maintenant. Il existe entre eux beaucoup d'unité et quelques diversités. Tous trois sont ou ont été membres du Conseil d'Etat. Tous trois sont ou ont été professeurs ou maîtres de conférence à l'Institut d'études politiques de Paris. Ils ont exercé, au sein du Conseil d'Etat ou en dehors, des activités qui les ont mis en rapport avec l'ensemble de nos institutions politiques et avec une grande variété d'administrations civiles ou militaires, parisiennes ou décentralisées, d'entreprises publiques ou privées, de milieux professionnels ou sociaux. Nés, le plus âgé, lorsqu'au lendemain de la victoire de 1918, la République paraît triompher pour longtemps, le second, quand elle s'effondre dans le gouffre ouvert par la catastrophe de 1940, le troisième, l'année où la Quatrième République, défaillante, vient de céder la place à la Cinquième, ils sont plus intéressés par le fonctionnement pratique des institutions que par des débats théoriques. Juristes, ils se méfient des excès du juridisme. Les années récentes ont confirmé que nos institutions appellent certaines réformes. Il nous faut surtout rendre plus active et plus directe la participation des citoyens au règlement des affaires publiques. Mais nos trois auteurs pensent qu'au total les institutions sont bonnes car elles permettent, si on le veut, de conjuguer efficacité et liberté.
Cet ouvrage a été édité pour la première fois en 1985. Au nombre de deux il y a dix ans, ses auteurs sont trois maintenant. Il existe entre eux beaucoup d'unité et quelques diversités. Tous trois sont ou ont été membres du Conseil d'Etat. Tous trois sont ou ont été professeurs ou maîtres de conférence à l'Institut d'études politiques de Paris. Ils ont exercé, au sein du Conseil d'Etat ou en dehors, des activités qui les ont mis en rapport avec l'ensemble de nos institutions politiques et avec une grande variété d'administrations civiles ou militaires, parisiennes ou décentralisées, d'entreprises publiques ou privées, de milieux professionnels ou sociaux. Nés, le plus âgé, lorsqu'au lendemain de la victoire de 1918, la République paraît triompher pour longtemps, le second, quand elle s'effondre dans le gouffre ouvert par la catastrophe de 1940, le troisième, l'année où la Quatrième République, défaillante, vient de céder la place à la Cinquième, ils sont plus intéressés par le fonctionnement pratique des institutions que par des débats théoriques. Juristes, ils se méfient des excès du juridisme. Les années récentes ont confirmé que nos institutions appellent certaines réformes. Il nous faut surtout rendre plus active et plus directe la participation des citoyens au règlement des affaires publiques. Mais nos trois auteurs pensent qu'au total les institutions sont bonnes car elles permettent, si on le veut, de conjuguer efficacité et liberté.