Les institutions de la France moderne XVe - XVIIIe siècle
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- Nombre de pages189
- PrésentationBroché
- Poids0.258 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-200-28660-6
- EAN9782200286606
- Date de parution24/09/2014
- CollectionCursus. Histoire
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Cet ouvrage propose une analyse méthodique des institutions de la France dite moderne, depuis le milieu du XVe siècle, fin de la guerre de Cent Ans, jusqu'à 1789, début de la Révolution. Cette longue période est dominée par la montée en puissance de l'Etat royal, mais également marquée par le décalage constant entre volontarisme politique et réalité sociale. Une première partie détaille les institutions monarchiques, depuis la personne du roi jusqu'à celle de ses agents, au niveau central, puis provincial.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Eglise, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Eglise, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Cet ouvrage propose une analyse méthodique des institutions de la France dite moderne, depuis le milieu du XVe siècle, fin de la guerre de Cent Ans, jusqu'à 1789, début de la Révolution. Cette longue période est dominée par la montée en puissance de l'Etat royal, mais également marquée par le décalage constant entre volontarisme politique et réalité sociale. Une première partie détaille les institutions monarchiques, depuis la personne du roi jusqu'à celle de ses agents, au niveau central, puis provincial.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Eglise, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.
Elle met en lumière les rapports, souvent ambigus, voire conflictuels, qui existent entre le quadrillage souverain et des réalités institutionnelles préexistantes. Celles-ci sont largement décrites dans la deuxième partie de l'ouvrage : Eglise, seigneuries, communautés d'habitants, villes, assemblées d'états sont présentées dans leur fonctionnement et dans leur relation à la monarchie. L'auteur s'attache à souligner leurs caractéristiques spécifiques et achève ce panorama par l'évocation des marges confessionnelles et sociales, hors du cadre institutionnel classique.