Les ingénieurs, des intermédiaires ?. Transmission et coopération à l'épreuve du terrain (Europe, XVe-XVIIIe siècle)

Par : Stéphane Blond, Liliane Hilaire-Pérez, Valérie Nègre, Michèle Virol
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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-8107-0704-1
  • EAN9782810707041
  • Date de parution28/10/2021
  • CollectionHistoire et Techniques
  • ÉditeurPresses universitaires du Midi

Résumé

Ce livre est issu de journées d'étude qui ont renouvelé les approches sur l'histoire des ingénieurs à l'époque moderne en interrogeant les interfaces avec d'autres professions et le rôle des mobilités dans la mise en oeuvre de formes d'intelligence collective. L'enjeu est d'approfondir la thématique de la transmission, des intermédiations et des savoirs mixtes, un sujet majeur de l'historiographie récente.
Les auteurs soulignent l'importance des hybridations de savoirs à l'épreuve du terrain, sur les chantiers, qu'il convient de considérer comme de véritables trading zones. Mais jusqu'à quel point la diversité des savoirs, des statuts, des langues permet-elle une mixité des savoirs ? Dans quelle mesure aussi l'hybridation des savoirs des élites techniciennes ne constitue-t-elle pas un mode de prédation des savoirs vernaculaires et communautaires ? Ce sont autant de questions auxquelles les auteurs s'efforcent de répondre.
Ce livre est issu de journées d'étude qui ont renouvelé les approches sur l'histoire des ingénieurs à l'époque moderne en interrogeant les interfaces avec d'autres professions et le rôle des mobilités dans la mise en oeuvre de formes d'intelligence collective. L'enjeu est d'approfondir la thématique de la transmission, des intermédiations et des savoirs mixtes, un sujet majeur de l'historiographie récente.
Les auteurs soulignent l'importance des hybridations de savoirs à l'épreuve du terrain, sur les chantiers, qu'il convient de considérer comme de véritables trading zones. Mais jusqu'à quel point la diversité des savoirs, des statuts, des langues permet-elle une mixité des savoirs ? Dans quelle mesure aussi l'hybridation des savoirs des élites techniciennes ne constitue-t-elle pas un mode de prédation des savoirs vernaculaires et communautaires ? Ce sont autant de questions auxquelles les auteurs s'efforcent de répondre.