Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Une maison cossue dans le quartier résidentiel d'une grande ville, où cinq personnages vivent un huis-clos angoissant : Léo, un homme d'affaires peu...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Une maison cossue dans le quartier résidentiel d'une grande ville, où cinq personnages vivent un huis-clos angoissant : Léo, un homme d'affaires peu scrupuleux qui convoite la maison et la fille de la maison, Marie-Grâce, une veuve vaniteuse et égoïste qui ne pense qu'à retenir son amant Léo, ses enfants Michel et Carla qui cherchent à rompre avec une vie qui les dégoûte profondément, Lisa, une amie sentimentale et indélicate. Des rapports troubles et complexes qui relient ces différents personnages pourrait naître un roman policier, un mélodrame, ou une tragédie. On en retient avant tout le tableau corrosif et amer d'un monde sans idéaux et sans ressort.
Avec ce roman sobre et désenchanté paru en 1929, le tout jeune Albert Moravia faisait une entrée fracassante dans le monde de la littérature italienne et signait la première d'une série d'œuvres qui devaient le consacrer comme un des grands romanciers de ce siècle.
Une maison cossue dans le quartier résidentiel d'une grande ville, où cinq personnages vivent un huis-clos angoissant : Léo, un homme d'affaires peu scrupuleux qui convoite la maison et la fille de la maison, Marie-Grâce, une veuve vaniteuse et égoïste qui ne pense qu'à retenir son amant Léo, ses enfants Michel et Carla qui cherchent à rompre avec une vie qui les dégoûte profondément, Lisa, une amie sentimentale et indélicate. Des rapports troubles et complexes qui relient ces différents personnages pourrait naître un roman policier, un mélodrame, ou une tragédie. On en retient avant tout le tableau corrosif et amer d'un monde sans idéaux et sans ressort. Avec ce roman sobre et désenchanté paru en 1929, le tout jeune Albert Moravia faisait une entrée fracassante dans le monde de la littérature italienne et signait la première d'une série d'oeuvres qui le consacreront comme un des grands romanciers du XXe siècle.