Nicolas Tshijika Tshifufu est prêtre de l'Ordre des Frères Mineurs (Franciscains) depuis 2010. Assistant à l'université de Lubumbashi (Faculté des lettres et sciences humaines/département des sciences historiques). Actuellement, il prépare sa thèse en histoire sur l'expansion missionnaire des Frères Mineurs en République démocratique du Congo pendant la période coloniale (de 1920 à 1960) à l'université Saint-Louis/ Bruxelles-Belgique.
Les Immémoriaux Frères Mineurs (Franciscains) belges. Parcours missionnaire en RDC
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- Nombre de pages322
- PrésentationBroché
- Poids0.381 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-336-40795-1
- EAN9782336407951
- Date de parution09/11/2023
- CollectionEglises d'Afrique
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierBwanacing benoît Mutombo
Résumé
A travers cet ouvrage, nous rendons un vibrant hommage à nos vaillants missionnaires franciscains belges, qui ont sacrifié leur jeunesse et quitté leur patrie pour l'évangélisation du Congo. L'occupation normale d'une mission était de 4 à 5 personnes : le P. supérieur, qui en général était en charge de l'église et la gestion de la mission ; le P. directeur, responsable de l'école centrale, de l'internat et des petites écoles de brousse ; le P.
''broussard'', c'est-à-dire le missionnaire itinérant, qui à raison de trois semaines par mois, voyageait dans la brousse en visitant les villages et leurs chapelles-écoles, en célébrant la messe et les sacrements, en prêchant, en enseignant et en redressant les choses quand il le fallait... Et finalement, le ''Frère'', c'est-à-dire le frère laïc, véritable factotum de la mission. La première génération de frères laïcs a énormément contribué au succès des missions et de l'évangélisation, comme maçons, menuisiers, garagistes, cultivateurs, instituteurs ou directeurs d'écoles.
''broussard'', c'est-à-dire le missionnaire itinérant, qui à raison de trois semaines par mois, voyageait dans la brousse en visitant les villages et leurs chapelles-écoles, en célébrant la messe et les sacrements, en prêchant, en enseignant et en redressant les choses quand il le fallait... Et finalement, le ''Frère'', c'est-à-dire le frère laïc, véritable factotum de la mission. La première génération de frères laïcs a énormément contribué au succès des missions et de l'évangélisation, comme maçons, menuisiers, garagistes, cultivateurs, instituteurs ou directeurs d'écoles.
A travers cet ouvrage, nous rendons un vibrant hommage à nos vaillants missionnaires franciscains belges, qui ont sacrifié leur jeunesse et quitté leur patrie pour l'évangélisation du Congo. L'occupation normale d'une mission était de 4 à 5 personnes : le P. supérieur, qui en général était en charge de l'église et la gestion de la mission ; le P. directeur, responsable de l'école centrale, de l'internat et des petites écoles de brousse ; le P.
''broussard'', c'est-à-dire le missionnaire itinérant, qui à raison de trois semaines par mois, voyageait dans la brousse en visitant les villages et leurs chapelles-écoles, en célébrant la messe et les sacrements, en prêchant, en enseignant et en redressant les choses quand il le fallait... Et finalement, le ''Frère'', c'est-à-dire le frère laïc, véritable factotum de la mission. La première génération de frères laïcs a énormément contribué au succès des missions et de l'évangélisation, comme maçons, menuisiers, garagistes, cultivateurs, instituteurs ou directeurs d'écoles.
''broussard'', c'est-à-dire le missionnaire itinérant, qui à raison de trois semaines par mois, voyageait dans la brousse en visitant les villages et leurs chapelles-écoles, en célébrant la messe et les sacrements, en prêchant, en enseignant et en redressant les choses quand il le fallait... Et finalement, le ''Frère'', c'est-à-dire le frère laïc, véritable factotum de la mission. La première génération de frères laïcs a énormément contribué au succès des missions et de l'évangélisation, comme maçons, menuisiers, garagistes, cultivateurs, instituteurs ou directeurs d'écoles.