Les Iles Du Salut. Guyane
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- Poids0.13 kg
- Dimensions11,0 cm × 22,6 cm × 0,6 cm
- ISBN2-84450-108-7
- EAN9782844501080
- Date de parution19/07/2001
- Collectionitineraires du patrimoine
- ÉditeurIbis Rouge
- ContributeurSylvie Clair
- ContributeurMarie-Pascale Mallé
Résumé
D'abord dénommées " au Diable ", ces trois petites îles situées au large de Kourou, sur les côtes de la Guyane française, sont devenues " îles du Salut " pour les rescapés des échecs coloniaux du XVIIIe siècle. Le nom leur est resté même si, ironie du sort, leurs occupants furent ensuite des bagnards condamnés à l'exil et aux travaux forcés. De 1852 à 1953, plus de 50 000 forçats transitèrent par les îles avant d'être répartis dans les différents pénitenciers de Guyane. Les plus redoutés d'entre eux, les " incorrigibles ", purgèrent leur peine dans ce " bagne des bagnes ", les transportés à l'île Royale, les condamnés à la peine de réclusion cellulaire à Saint-Joseph, les déportés politiques, dont le plus célèbre fut Alfred Dreyfus, à l'île du Diable. Les bâtiments encore en place et de nombreux documents d'archives permettent de retracer l'histoire de ces hommes.
D'abord dénommées " au Diable ", ces trois petites îles situées au large de Kourou, sur les côtes de la Guyane française, sont devenues " îles du Salut " pour les rescapés des échecs coloniaux du XVIIIe siècle. Le nom leur est resté même si, ironie du sort, leurs occupants furent ensuite des bagnards condamnés à l'exil et aux travaux forcés. De 1852 à 1953, plus de 50 000 forçats transitèrent par les îles avant d'être répartis dans les différents pénitenciers de Guyane. Les plus redoutés d'entre eux, les " incorrigibles ", purgèrent leur peine dans ce " bagne des bagnes ", les transportés à l'île Royale, les condamnés à la peine de réclusion cellulaire à Saint-Joseph, les déportés politiques, dont le plus célèbre fut Alfred Dreyfus, à l'île du Diable. Les bâtiments encore en place et de nombreux documents d'archives permettent de retracer l'histoire de ces hommes.