Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Depuis le xe siècle et le baptême du prince Vladimir en 988, les Russes n'ont jamais cessé de peindre et de vénérer les icônes. Reçues de Byzance...
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Résumé
Depuis le xe siècle et le baptême du prince Vladimir en 988, les Russes n'ont jamais cessé de peindre et de vénérer les icônes. Reçues de Byzance comme des images de culte, des " images non faites de la main de l'homme ", les icônes sont tenues pour miraculeuses, placées dans les églises et les maisons, encensées et éclairées par les cierges, emportées sur les champs de bataille, touchées et embrassées. Par leur " emploi ", elles manifestent leur double nature, codifiée par les Pères de l'Église : d'une part, des images qui renvoient au prototype immatériel ; d'autre part, des objets " saints " matériels, conservateurs et transmetteurs de l'énergie divine. Olga Medvedkova retrace l'histoire des icônes en Russie, longtemps associées à la culture populaire, avant de devenir, au début du xxe siècle, des images esthétiques, comparables pour les élites russes aux oeuvres des primitifs italiens.
Olga Medvedkova retrace l'histoire des icônes en Russie, longtemps associées à la culture populaire, avant de devenir, au début du XX ? siècle, des images esthétiques, comparables pour les élites russes aux oeuvres des primitifs italiens.