Les Groupes d'études communistes (GEC) en Afrique noire

Par : Jean Suret-Canale
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  • Nombre de pages185
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.238 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-7384-2420-1
  • EAN9782738424204
  • Date de parution28/09/1994
  • CollectionRacines du présent
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dans l'atmosphère de la deuxième guerre mondiale finissante, marquée par le rôle décisif de l'Union Soviétique et l'audience croissante des partis communistes, des cercles ou groupes d'études se réclamant du communisme se forment spontanément dans diverses colonies françaises et en particulier en Afrique noire. Nés en milieu européen, ils vont s'africaniser à partir de 1946. Liés au Parti communiste français, ils vont à partir de 1945 prendre l'appellation de "Groupes d'Etudes Communistes" (G.E.C.).
Leur histoire était jusqu'ici très mal connue. En l'absence d'archives du Parti communiste (disparues), l'auteur a patiemment reconstitue cette histoire à partir de ses souvenirs et de ses archives personnelles, des témoignages des survivants, de sources écrites très dispersées, et des archives publiques. Ces groupes, à l'activité publique très limitée, ont joué un rôle important jusqu'en 1951 comme foyers de réflexion et de formation de nombreux cadres politiques et syndicaux africains de l'après-guerre, dont l'évolution politique a été très diverse.
Dans l'atmosphère de la deuxième guerre mondiale finissante, marquée par le rôle décisif de l'Union Soviétique et l'audience croissante des partis communistes, des cercles ou groupes d'études se réclamant du communisme se forment spontanément dans diverses colonies françaises et en particulier en Afrique noire. Nés en milieu européen, ils vont s'africaniser à partir de 1946. Liés au Parti communiste français, ils vont à partir de 1945 prendre l'appellation de "Groupes d'Etudes Communistes" (G.E.C.).
Leur histoire était jusqu'ici très mal connue. En l'absence d'archives du Parti communiste (disparues), l'auteur a patiemment reconstitue cette histoire à partir de ses souvenirs et de ses archives personnelles, des témoignages des survivants, de sources écrites très dispersées, et des archives publiques. Ces groupes, à l'activité publique très limitée, ont joué un rôle important jusqu'en 1951 comme foyers de réflexion et de formation de nombreux cadres politiques et syndicaux africains de l'après-guerre, dont l'évolution politique a été très diverse.