Les grammoceratinae du toracien supérieur

Par : Louis Rulleau, Pierre Lacroix, Jean-Pierre Le Pichon, François Ové
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  • Nombre de pages294
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.865 kg
  • Dimensions20,8 cm × 29,2 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-917151-98-3
  • EAN9782917151983
  • Date de parution01/07/2020
  • ÉditeurDédale Editions

Résumé

La sous-famille des Grammoceratinae a fait l'objet d'une première étude approfondie de Gabilly (1976), à partir d'un matériel provenant de la région du stratotype du Toarcien, puis d'un travail de thèse par Rulleau (1989) sur les ammonites de la région lyonnaise. Outre leur caractère purement régional, ces travaux étaient soit incomplets, Gabilly n'ayant considéré qu'une parée des genres rattachés à la sous-famille, soit inédits dans le cas de la thèse de Rulleau.
Par ailleurs, de nombreux travaux ultérieurs, soit en France, soit à l'étranger, ont apporté de nouvelles données sur ce groupe d'ammonites et sa répartition mondiale. Dans le domaine N.W. européen, le tronc principal, représenté par les Pseudogrammoceras et issu des Phymatoceratinae, se poursuit jusqu'à l'extinction du phyllum, par les Phlyseogrammoceras et les Hudlestonia. De cette lignée, vont se détacher successivement plusieurs rameaux latéraux : les Grammoceras d'abord, puis les Esericeras qui donnent aux Pseudolillia et enfin les Gruneria.
Les Podagrosites occupent une place à part, ce qui pose le problème de leur origine. Au niveau des espèces, des formes nouvelles ont pu être décrites, de même que l'on a pu discuter de l'appartenance vraisemblable ou non à la sous-famille, d'espèces méditerranéennes ou américaines.
La sous-famille des Grammoceratinae a fait l'objet d'une première étude approfondie de Gabilly (1976), à partir d'un matériel provenant de la région du stratotype du Toarcien, puis d'un travail de thèse par Rulleau (1989) sur les ammonites de la région lyonnaise. Outre leur caractère purement régional, ces travaux étaient soit incomplets, Gabilly n'ayant considéré qu'une parée des genres rattachés à la sous-famille, soit inédits dans le cas de la thèse de Rulleau.
Par ailleurs, de nombreux travaux ultérieurs, soit en France, soit à l'étranger, ont apporté de nouvelles données sur ce groupe d'ammonites et sa répartition mondiale. Dans le domaine N.W. européen, le tronc principal, représenté par les Pseudogrammoceras et issu des Phymatoceratinae, se poursuit jusqu'à l'extinction du phyllum, par les Phlyseogrammoceras et les Hudlestonia. De cette lignée, vont se détacher successivement plusieurs rameaux latéraux : les Grammoceras d'abord, puis les Esericeras qui donnent aux Pseudolillia et enfin les Gruneria.
Les Podagrosites occupent une place à part, ce qui pose le problème de leur origine. Au niveau des espèces, des formes nouvelles ont pu être décrites, de même que l'on a pu discuter de l'appartenance vraisemblable ou non à la sous-famille, d'espèces méditerranéennes ou américaines.