Les geôles d'Alger

Par : Mohamed Benchicou

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  • Nombre de pages311
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-914214-31-5
  • EAN9782914214315
  • Date de parution01/10/2007
  • ÉditeurRiveneuve
  • PréfacierGilles Perrault

Résumé

Dans l'Algérie du XXIe siècle où le délit d'écrire conduit encore les âmes pécheresses au cimetière ou en prison, Mohamed Benchicou a multiplié les péchés. Celui, blasphématoire, de diriger un journal frondeur, Le Matin, une voix obstinée qui dénonçait la connivence entre les islamistes et la mafia au pouvoir, la torture ou la corruption, comme une voix offerte à ceux qui n'en avaient pas, ces Algériens qu'on écrase et qu'on humilie.
Celui, sacrilège, de publier en Algérie une biographie embarrassante pour le président algérien : Bouteflika, une imposture algérienne. Autant d'impiétés que le pouvoir lui fera expier par deux longues années de prison, au pénitencier d'El-Harrach. Aussi, ce récit n'est-il pas celui d'une mésaventure personnelle mais un témoignage poignant sur le prix à payer pour la liberté de penser sur cette terre d'Algérie.
Ce n'est pas une chronique chagrine sur la détresse carcérale mais, au contraire, un émouvant reportage au cœur de la solidarité humaine, celle, inoubliable et efficace, qu'apportèrent ses codétenus à celui qu'ils appelaient " ami Moh ". Une histoire à lire pour ne pas tout à fait désespérer des hommes.
Dans l'Algérie du XXIe siècle où le délit d'écrire conduit encore les âmes pécheresses au cimetière ou en prison, Mohamed Benchicou a multiplié les péchés. Celui, blasphématoire, de diriger un journal frondeur, Le Matin, une voix obstinée qui dénonçait la connivence entre les islamistes et la mafia au pouvoir, la torture ou la corruption, comme une voix offerte à ceux qui n'en avaient pas, ces Algériens qu'on écrase et qu'on humilie.
Celui, sacrilège, de publier en Algérie une biographie embarrassante pour le président algérien : Bouteflika, une imposture algérienne. Autant d'impiétés que le pouvoir lui fera expier par deux longues années de prison, au pénitencier d'El-Harrach. Aussi, ce récit n'est-il pas celui d'une mésaventure personnelle mais un témoignage poignant sur le prix à payer pour la liberté de penser sur cette terre d'Algérie.
Ce n'est pas une chronique chagrine sur la détresse carcérale mais, au contraire, un émouvant reportage au cœur de la solidarité humaine, celle, inoubliable et efficace, qu'apportèrent ses codétenus à celui qu'ils appelaient " ami Moh ". Une histoire à lire pour ne pas tout à fait désespérer des hommes.