Les gardes nationaux 1813-1814. Les oubliés de l'épopée suivi du dictionnaire des gardes nationaux activés victimes des combats
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- Nombre de pages360
- PrésentationBroché
- Poids0.665 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-35077-152-6
- EAN9782350771526
- Date de parution09/11/2009
- ÉditeurArchives & Culture
Résumé
Dans les dernières années de l'Empire, Napoléon Ier a largement complété ses troupes avec des gardes nationaux, c'est-à-dire des villageois ou des citadins qui n'avaient pas de véritable formation militaire mais qu'on a néanmoins réquisitionnés et envoyés au feu lors de la campagne de France de 1813-1814. Derniers arrivés et premiers tués, ils restent les grands oubliés de l'épopée militaire du premier Empire.
Après le rappel des origines de la garde nationale et de son histoire, Jean-Pierre Mir détaille dans l'ouvrage le rôle des gardes nationaux lors des deux terribles années 1813 et 1814. Il publie des correspondances administratives et des directives de l'Empereur, montrant bien qu'on envoyait ces hommes, souvent mariés et pères de famille, à une mort quasi certaine. Il souligne le courage de ces recrues, qui se sont battues et se sont fait tuer bien plus héroïquement que l'on ne s'y attendait.
L'histoire de la fameuse colonne Pactod, décimée à Fère-Champenoise après avoir résisté jusqu'au dernier carré, en est un exemple émouvant. L'ouvrage est suivi d'un dictionnaire biographique de deux mille gardes nationaux activés et tombés au combat en 1813 ou en 1814. Une façon pour l'auteur de rendre hommage à ces morts pour la France oubliés.
Après le rappel des origines de la garde nationale et de son histoire, Jean-Pierre Mir détaille dans l'ouvrage le rôle des gardes nationaux lors des deux terribles années 1813 et 1814. Il publie des correspondances administratives et des directives de l'Empereur, montrant bien qu'on envoyait ces hommes, souvent mariés et pères de famille, à une mort quasi certaine. Il souligne le courage de ces recrues, qui se sont battues et se sont fait tuer bien plus héroïquement que l'on ne s'y attendait.
L'histoire de la fameuse colonne Pactod, décimée à Fère-Champenoise après avoir résisté jusqu'au dernier carré, en est un exemple émouvant. L'ouvrage est suivi d'un dictionnaire biographique de deux mille gardes nationaux activés et tombés au combat en 1813 ou en 1814. Une façon pour l'auteur de rendre hommage à ces morts pour la France oubliés.
Dans les dernières années de l'Empire, Napoléon Ier a largement complété ses troupes avec des gardes nationaux, c'est-à-dire des villageois ou des citadins qui n'avaient pas de véritable formation militaire mais qu'on a néanmoins réquisitionnés et envoyés au feu lors de la campagne de France de 1813-1814. Derniers arrivés et premiers tués, ils restent les grands oubliés de l'épopée militaire du premier Empire.
Après le rappel des origines de la garde nationale et de son histoire, Jean-Pierre Mir détaille dans l'ouvrage le rôle des gardes nationaux lors des deux terribles années 1813 et 1814. Il publie des correspondances administratives et des directives de l'Empereur, montrant bien qu'on envoyait ces hommes, souvent mariés et pères de famille, à une mort quasi certaine. Il souligne le courage de ces recrues, qui se sont battues et se sont fait tuer bien plus héroïquement que l'on ne s'y attendait.
L'histoire de la fameuse colonne Pactod, décimée à Fère-Champenoise après avoir résisté jusqu'au dernier carré, en est un exemple émouvant. L'ouvrage est suivi d'un dictionnaire biographique de deux mille gardes nationaux activés et tombés au combat en 1813 ou en 1814. Une façon pour l'auteur de rendre hommage à ces morts pour la France oubliés.
Après le rappel des origines de la garde nationale et de son histoire, Jean-Pierre Mir détaille dans l'ouvrage le rôle des gardes nationaux lors des deux terribles années 1813 et 1814. Il publie des correspondances administratives et des directives de l'Empereur, montrant bien qu'on envoyait ces hommes, souvent mariés et pères de famille, à une mort quasi certaine. Il souligne le courage de ces recrues, qui se sont battues et se sont fait tuer bien plus héroïquement que l'on ne s'y attendait.
L'histoire de la fameuse colonne Pactod, décimée à Fère-Champenoise après avoir résisté jusqu'au dernier carré, en est un exemple émouvant. L'ouvrage est suivi d'un dictionnaire biographique de deux mille gardes nationaux activés et tombés au combat en 1813 ou en 1814. Une façon pour l'auteur de rendre hommage à ces morts pour la France oubliés.