Les filles de saint Bruno au Moyen Age. Les moniales cartusiennes et l'exemple de la chartreuse de Prémol (XIIe-XVe siècle
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- Poids0.404 kg
- Dimensions17,5 cm × 25,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-7535-2750-8
- EAN9782753527508
- Date de parution27/06/2013
- CollectionMnémosyne
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
L’ouvrage se propose de dresser un tableau de l'évolution de la branche féminine des Chartreux, de son apparition jusqu'au XVe siècle. Il s'agit ensuite, sur la base de cette synthèse chronologique, de chercher à comprendre si les moniales cartusiennes, bien que peu nombreuses, constituent une branche pleinement intégrée à l’ordre des Chartreux ou s’il s’agit d’un phénomène secondaire, marginal par rapport à la branche masculine.
Une question qui s’applique aussi bien à leur mode de vie, qu’à la liturgie qu’elles mettent en oeuvre ou à la spiritualité qu’elles ont pu développer. Originalité du monachisme féminin médiéval, adaptation d'une règle érémitique à un publique féminin pourtant peu apte à ce mode de vie dans la vision médiévale, épiphénomène ou branche à part entière de l'ordre chartreux, les questions posées par l'expérience des moniales cartusiennes sont nombreuses.
C'est aussi la différenciation des sexes dans la société médiévale, à partir d'un idéal monastique commun, qui se dessine. C'est également l'occasion de montrer que l'on peut, par l'histoire du genre, faire avancer l'histoire religieuse, celle des moniales d'abord, mais également celles des Chartreux eux-mêmes puisque l'attitude qu'ils adoptent tout au long du Moyen Âge -et l'évolution de leurs postures- permet d'appréhender leur vision des femmes médiévales en général et celle des moniales en particulier.
Une question qui s’applique aussi bien à leur mode de vie, qu’à la liturgie qu’elles mettent en oeuvre ou à la spiritualité qu’elles ont pu développer. Originalité du monachisme féminin médiéval, adaptation d'une règle érémitique à un publique féminin pourtant peu apte à ce mode de vie dans la vision médiévale, épiphénomène ou branche à part entière de l'ordre chartreux, les questions posées par l'expérience des moniales cartusiennes sont nombreuses.
C'est aussi la différenciation des sexes dans la société médiévale, à partir d'un idéal monastique commun, qui se dessine. C'est également l'occasion de montrer que l'on peut, par l'histoire du genre, faire avancer l'histoire religieuse, celle des moniales d'abord, mais également celles des Chartreux eux-mêmes puisque l'attitude qu'ils adoptent tout au long du Moyen Âge -et l'évolution de leurs postures- permet d'appréhender leur vision des femmes médiévales en général et celle des moniales en particulier.
L’ouvrage se propose de dresser un tableau de l'évolution de la branche féminine des Chartreux, de son apparition jusqu'au XVe siècle. Il s'agit ensuite, sur la base de cette synthèse chronologique, de chercher à comprendre si les moniales cartusiennes, bien que peu nombreuses, constituent une branche pleinement intégrée à l’ordre des Chartreux ou s’il s’agit d’un phénomène secondaire, marginal par rapport à la branche masculine.
Une question qui s’applique aussi bien à leur mode de vie, qu’à la liturgie qu’elles mettent en oeuvre ou à la spiritualité qu’elles ont pu développer. Originalité du monachisme féminin médiéval, adaptation d'une règle érémitique à un publique féminin pourtant peu apte à ce mode de vie dans la vision médiévale, épiphénomène ou branche à part entière de l'ordre chartreux, les questions posées par l'expérience des moniales cartusiennes sont nombreuses.
C'est aussi la différenciation des sexes dans la société médiévale, à partir d'un idéal monastique commun, qui se dessine. C'est également l'occasion de montrer que l'on peut, par l'histoire du genre, faire avancer l'histoire religieuse, celle des moniales d'abord, mais également celles des Chartreux eux-mêmes puisque l'attitude qu'ils adoptent tout au long du Moyen Âge -et l'évolution de leurs postures- permet d'appréhender leur vision des femmes médiévales en général et celle des moniales en particulier.
Une question qui s’applique aussi bien à leur mode de vie, qu’à la liturgie qu’elles mettent en oeuvre ou à la spiritualité qu’elles ont pu développer. Originalité du monachisme féminin médiéval, adaptation d'une règle érémitique à un publique féminin pourtant peu apte à ce mode de vie dans la vision médiévale, épiphénomène ou branche à part entière de l'ordre chartreux, les questions posées par l'expérience des moniales cartusiennes sont nombreuses.
C'est aussi la différenciation des sexes dans la société médiévale, à partir d'un idéal monastique commun, qui se dessine. C'est également l'occasion de montrer que l'on peut, par l'histoire du genre, faire avancer l'histoire religieuse, celle des moniales d'abord, mais également celles des Chartreux eux-mêmes puisque l'attitude qu'ils adoptent tout au long du Moyen Âge -et l'évolution de leurs postures- permet d'appréhender leur vision des femmes médiévales en général et celle des moniales en particulier.