Les femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses

Par : Laure Adler, Stefan Bollmann
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  • Nombre de pages136
  • PrésentationBroché
  • FormatBeau Livre
  • Poids0.92 kg
  • Dimensions22,0 cm × 28,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-08-126137-2
  • EAN9782081261372
  • Date de parution19/10/2011
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

C'est une lectrice encore plus redoutable et avisée que Stefan Bollmann et Laure Adler introduisent dans ce volume Les femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses, tout en poursuivant l'exploration du thème de la lecture féminine et de sa représentation. La lecture de romans, méprisée par les hommes et considérée par eux comme une perte de temps, commence à porter ses fruits pour les femmes.
Des siècles durant, leur addiction à la lecture a été blâmée parce qu'elle était considérée comme une activité désordonnée, manquant de discernement, les incitant à négliger d'abord leurs tâches domestiques, puis leurs devoirs publics : en d'autres termes, c'était une activité immorale, impudique et dépravée. Les femmes qui lisaient, non seulement se mettaient en danger, mais elles étaient dangereuses.
En réalité, par leur désir effréné de lecture, elles ont acquis une grande connaissance des hommes et une subtile intelligence de la vie. Paisible, dans un intérieur bourgeois, sous le pinceau de Gustave Caillebotte, solitaire, dans l'entrée d'un hôtel, chez Edward Hopper, dénudée chez Félix Vallotton, la femme, un livre à la main, se pose en militante. De courtes notices incisives accompagnent une très belle sélection de peintures, dessins et photographies présentant des lectrices de toutes les conditions et de toutes les époques.
C'est une lectrice encore plus redoutable et avisée que Stefan Bollmann et Laure Adler introduisent dans ce volume Les femmes qui lisent sont de plus en plus dangereuses, tout en poursuivant l'exploration du thème de la lecture féminine et de sa représentation. La lecture de romans, méprisée par les hommes et considérée par eux comme une perte de temps, commence à porter ses fruits pour les femmes.
Des siècles durant, leur addiction à la lecture a été blâmée parce qu'elle était considérée comme une activité désordonnée, manquant de discernement, les incitant à négliger d'abord leurs tâches domestiques, puis leurs devoirs publics : en d'autres termes, c'était une activité immorale, impudique et dépravée. Les femmes qui lisaient, non seulement se mettaient en danger, mais elles étaient dangereuses.
En réalité, par leur désir effréné de lecture, elles ont acquis une grande connaissance des hommes et une subtile intelligence de la vie. Paisible, dans un intérieur bourgeois, sous le pinceau de Gustave Caillebotte, solitaire, dans l'entrée d'un hôtel, chez Edward Hopper, dénudée chez Félix Vallotton, la femme, un livre à la main, se pose en militante. De courtes notices incisives accompagnent une très belle sélection de peintures, dessins et photographies présentant des lectrices de toutes les conditions et de toutes les époques.
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