Les femmes Lokélé en RDC. Structure sociale et dynamique marchande
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- Nombre de pages254
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.396 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-10262-7
- EAN9782343102627
- Date de parution15/02/2017
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierEmile Bongeli Yeikelo ya Ato
Résumé
La parentèle et les idéologies sont deux composantes de la structure sociale qui agissent sur les pratiques et les comportements économiques des individus dans les formations lignagères Lokélé. Les relations de parentèle déterminent tant sur les flux quotidiens de l'interaction sociale que sur les pratiques économiques des individus. Le lien inextricable entre l'origine familiale du capital marchand, de la main-d'oeuvre et l'activité marchande des femmes Lokélé, renforce le solidarisme familial spécifique à ces multitudes.
Ce solidarisme se manifeste par des ponctions régulières des ressources en vue de la subsistance, de l'habillement, de la scolarité, des mariages, des deuils..., facilitées par des pensées et des croyances typiques qui renforcent la soumission, le maintien des divisions et la perpétuation des rapports sociaux de domination masculine. Il s'en suit une stagnation qui réduit l'essentiel d'efforts des marchandes à la débrouille et à l'autosubsistance, empêchant ainsi toute possibilité d'émergence d'un entrepreneuriat féminin productif, compétitif et durable.
Les Lokélé seraient-ils en train d'assister, en silence, dans la complaisance à la défaite de l'entrepreneuriat féminin, porteur d'espoir ? Mais alors, ce serait aussi celle de toute une culture.
Ce solidarisme se manifeste par des ponctions régulières des ressources en vue de la subsistance, de l'habillement, de la scolarité, des mariages, des deuils..., facilitées par des pensées et des croyances typiques qui renforcent la soumission, le maintien des divisions et la perpétuation des rapports sociaux de domination masculine. Il s'en suit une stagnation qui réduit l'essentiel d'efforts des marchandes à la débrouille et à l'autosubsistance, empêchant ainsi toute possibilité d'émergence d'un entrepreneuriat féminin productif, compétitif et durable.
Les Lokélé seraient-ils en train d'assister, en silence, dans la complaisance à la défaite de l'entrepreneuriat féminin, porteur d'espoir ? Mais alors, ce serait aussi celle de toute une culture.
La parentèle et les idéologies sont deux composantes de la structure sociale qui agissent sur les pratiques et les comportements économiques des individus dans les formations lignagères Lokélé. Les relations de parentèle déterminent tant sur les flux quotidiens de l'interaction sociale que sur les pratiques économiques des individus. Le lien inextricable entre l'origine familiale du capital marchand, de la main-d'oeuvre et l'activité marchande des femmes Lokélé, renforce le solidarisme familial spécifique à ces multitudes.
Ce solidarisme se manifeste par des ponctions régulières des ressources en vue de la subsistance, de l'habillement, de la scolarité, des mariages, des deuils..., facilitées par des pensées et des croyances typiques qui renforcent la soumission, le maintien des divisions et la perpétuation des rapports sociaux de domination masculine. Il s'en suit une stagnation qui réduit l'essentiel d'efforts des marchandes à la débrouille et à l'autosubsistance, empêchant ainsi toute possibilité d'émergence d'un entrepreneuriat féminin productif, compétitif et durable.
Les Lokélé seraient-ils en train d'assister, en silence, dans la complaisance à la défaite de l'entrepreneuriat féminin, porteur d'espoir ? Mais alors, ce serait aussi celle de toute une culture.
Ce solidarisme se manifeste par des ponctions régulières des ressources en vue de la subsistance, de l'habillement, de la scolarité, des mariages, des deuils..., facilitées par des pensées et des croyances typiques qui renforcent la soumission, le maintien des divisions et la perpétuation des rapports sociaux de domination masculine. Il s'en suit une stagnation qui réduit l'essentiel d'efforts des marchandes à la débrouille et à l'autosubsistance, empêchant ainsi toute possibilité d'émergence d'un entrepreneuriat féminin productif, compétitif et durable.
Les Lokélé seraient-ils en train d'assister, en silence, dans la complaisance à la défaite de l'entrepreneuriat féminin, porteur d'espoir ? Mais alors, ce serait aussi celle de toute une culture.