Les femmes et la guerre de l'Antiquité à 1918
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- Nombre de pages412
- PrésentationBroché
- Poids0.67 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-7178-5951-5
- EAN9782717859515
- Date de parution05/01/2011
- CollectionBibliothèque stratégique
- ÉditeurEconomica
Résumé
Si les femmes ne semblent pas à première vue les plus concernées par les guerres, sauf en tant que
victimes, l’historiographie a montré depuis une dizaine d’années, qu’en réalité les femmes n’étaient
pas absentes des armées, ni des pays ou villes en guerre. Si leur participation aux faits de guerre est
moins évidente que celle des hommes, cela ne signifie pas qu’elles soient totalement écartées des
conflits.
C’est pour combler une lacune dans l’historiographie française des guerres que le Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits de l’Université de Picardie a organisé un colloque à Amiens en novembre 2007 sur le rôle et l’implication des femmes dans les guerres depuis l’Antiquité jusqu’à 1918. Grâce à une vingtaine de contributions s’attachant aussi bien aux représentations qu’aux réalités des femmes dans les guerres, trois axes d’analyse sont apparus : le premier est celui de la participation active des femmes aux conflits comme combattantes (réelles ou fantasmées) ; le second, s’attache à cerner les femmes aux « marges » des conflits (espionnes, intermédiaires ou suiveuses d’armées), et enfin le dernier décrit les femmes subissant les conséquences des guerres.
C’est pour combler une lacune dans l’historiographie française des guerres que le Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits de l’Université de Picardie a organisé un colloque à Amiens en novembre 2007 sur le rôle et l’implication des femmes dans les guerres depuis l’Antiquité jusqu’à 1918. Grâce à une vingtaine de contributions s’attachant aussi bien aux représentations qu’aux réalités des femmes dans les guerres, trois axes d’analyse sont apparus : le premier est celui de la participation active des femmes aux conflits comme combattantes (réelles ou fantasmées) ; le second, s’attache à cerner les femmes aux « marges » des conflits (espionnes, intermédiaires ou suiveuses d’armées), et enfin le dernier décrit les femmes subissant les conséquences des guerres.
Si les femmes ne semblent pas à première vue les plus concernées par les guerres, sauf en tant que
victimes, l’historiographie a montré depuis une dizaine d’années, qu’en réalité les femmes n’étaient
pas absentes des armées, ni des pays ou villes en guerre. Si leur participation aux faits de guerre est
moins évidente que celle des hommes, cela ne signifie pas qu’elles soient totalement écartées des
conflits.
C’est pour combler une lacune dans l’historiographie française des guerres que le Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits de l’Université de Picardie a organisé un colloque à Amiens en novembre 2007 sur le rôle et l’implication des femmes dans les guerres depuis l’Antiquité jusqu’à 1918. Grâce à une vingtaine de contributions s’attachant aussi bien aux représentations qu’aux réalités des femmes dans les guerres, trois axes d’analyse sont apparus : le premier est celui de la participation active des femmes aux conflits comme combattantes (réelles ou fantasmées) ; le second, s’attache à cerner les femmes aux « marges » des conflits (espionnes, intermédiaires ou suiveuses d’armées), et enfin le dernier décrit les femmes subissant les conséquences des guerres.
C’est pour combler une lacune dans l’historiographie française des guerres que le Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits de l’Université de Picardie a organisé un colloque à Amiens en novembre 2007 sur le rôle et l’implication des femmes dans les guerres depuis l’Antiquité jusqu’à 1918. Grâce à une vingtaine de contributions s’attachant aussi bien aux représentations qu’aux réalités des femmes dans les guerres, trois axes d’analyse sont apparus : le premier est celui de la participation active des femmes aux conflits comme combattantes (réelles ou fantasmées) ; le second, s’attache à cerner les femmes aux « marges » des conflits (espionnes, intermédiaires ou suiveuses d’armées), et enfin le dernier décrit les femmes subissant les conséquences des guerres.