Les faucilles sanglantes. Paroles d'un rescapé du génocide arménien

Par : Missak Khralian, Thierry Karibian

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  • Nombre de pages242
  • PrésentationBroché
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-84478-555-8
  • EAN9782844785558
  • Date de parution15/10/2007
  • ÉditeurCheminements/L'A part Editions

Résumé

Missak Khralian est né au début du vingtième siècle à Til, en Arménie, dans une région située aujourd'hui en Turquie, proche de la ville actuelle de Palu. Il fut un des rares rescapés arméniens de son village lors des événements sanglants qui ont marqué à jamais son peuple, le génocide de 1915 et des années qui ont suivi. En 1925, il parvint à trouver un moyen de transport pour quitter sa terre patrie. Il vint en France, à Marseille. Hanté par ses souvenirs, éprouvant la nécessité de transmettre au monde les atrocités vécues par son village, sa famille et lui-même, il rassembla ses souvenirs et écrivit ce document en 1933. Ce texte original parut en Bulgarie à la fin des années mille neuf cent trente, dans un recueil écrit en achkharapar, arménien populaire. Puis ce document de mémoire sombra dans l'oubli. Sa famille a voulu que ces souvenirs soient perpétués, traduits et publiés, respectant en cela les volontés de leur père et grand-père espérant que ce livre devienne une modeste contribution à la mémoire de toutes les victimes anonymes qui sont tombées sur la route d'un idéal afin de nous transmettre le droit à la vie.
Missak Khralian est né au début du vingtième siècle à Til, en Arménie, dans une région située aujourd'hui en Turquie, proche de la ville actuelle de Palu. Il fut un des rares rescapés arméniens de son village lors des événements sanglants qui ont marqué à jamais son peuple, le génocide de 1915 et des années qui ont suivi. En 1925, il parvint à trouver un moyen de transport pour quitter sa terre patrie. Il vint en France, à Marseille. Hanté par ses souvenirs, éprouvant la nécessité de transmettre au monde les atrocités vécues par son village, sa famille et lui-même, il rassembla ses souvenirs et écrivit ce document en 1933. Ce texte original parut en Bulgarie à la fin des années mille neuf cent trente, dans un recueil écrit en achkharapar, arménien populaire. Puis ce document de mémoire sombra dans l'oubli. Sa famille a voulu que ces souvenirs soient perpétués, traduits et publiés, respectant en cela les volontés de leur père et grand-père espérant que ce livre devienne une modeste contribution à la mémoire de toutes les victimes anonymes qui sont tombées sur la route d'un idéal afin de nous transmettre le droit à la vie.