Ce court roman est un miracle.
Un miracle de générosité onirique et d'imaginaire sensible.
C'est l'histoire du jeune Sigmar, un petit garçon à l'imagination aussi débordante que celle de Max qui profite de la venue de ses Maximonstres pour partir en voyage.
Chaque chose, chaque objet prend vie. L'univers est une idée que l'on s'en fait, finalement on en fait ce que l'on veut.
Comme le dit le garçon "On peut toujours changer les mondes".
Et cela le rend drôle, puisque ayant animé chaque chose, il joue avec, il interagit avec, il frappe un sac de farine qu'il prenait pour une chauve-souris, il éventre l'ours en peluche d'un autre puisqu'il se prend pour un chirurgien, etc..., autant dire qu'il fait des tas de conneries!
Ce livre est d'une beauté stupéfiante, une beauté drapée dans une langue délicate et parcourue d'images plus belles les unes que les autres.
Ces excursions sont un voyage à la lisière des forêts magiques, à la périphérie des villes imaginaires, en marge d'une réalité trop bornée.
Nous y évoluons comme dans les franges de la nuit, vous savez, ce qui reste de miettes de rêves quand nos yeux peinent encore à s'ouvrir tout à fait.
Ce court roman est un miracle.
Un miracle de générosité onirique et d'imaginaire sensible.
C'est l'histoire du jeune Sigmar, un petit garçon à l'imagination aussi débordante que celle de Max qui profite de la venue de ses Maximonstres pour partir en voyage.
Chaque chose, chaque objet prend vie. L'univers est une idée que l'on s'en fait, finalement on en fait ce que l'on veut.
Comme le dit le garçon "On peut toujours changer les mondes".
Et cela le rend drôle, puisque ayant animé chaque chose, il joue avec, il interagit avec, il frappe un sac de farine qu'il prenait pour une chauve-souris, il éventre l'ours en peluche d'un autre puisqu'il se prend pour un chirurgien, etc..., autant dire qu'il fait des tas de conneries!
Ce livre est d'une beauté stupéfiante, une beauté drapée dans une langue délicate et parcourue d'images plus belles les unes que les autres.
Ces excursions sont un voyage à la lisière des forêts magiques, à la périphérie des villes imaginaires, en marge d'une réalité trop bornée.
Nous y évoluons comme dans les franges de la nuit, vous savez, ce qui reste de miettes de rêves quand nos yeux peinent encore à s'ouvrir tout à fait.