Les enjeux de la généalogie (XIIe-XVIIIe siècle). Pouvoir et identité

Par : Germain Butaud, Valérie Pietri

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  • Nombre de pages299
  • PrésentationBroché
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-7467-0864-7
  • EAN9782746708648
  • Date de parution21/09/2006
  • CollectionMémoires/Culture
  • ÉditeurAutrement (Editions)

Résumé

Quand et pourquoi a-t-on commencé à écrire des généalogies dans l'ancienne France, celle d'avant la Révolution ? Cet ouvrage propose au lecteur d'aujourd'hui, généalogiste amateur ou esprit curieux, un regard d'historien sur les généalogies anciennes et leurs auteurs à travers l'exploration de documents originaux. La généalogie prend naissance au Moyen Age en relation avec l'évolution des conceptions de la parenté mais aussi avec le développement d'une forme de culture savante fondée sur l'écrit.
Les textes à caractère généalogique revêtent très vite une multiplicité de formes, du simple feuillet manuscrit au livre imprimé, généalogies ascendantes ou descendantes, en ligne masculine ou féminine, sous formes discursives ou graphiques... La généalogie est, d'abord, une pratique nobiliaire, mais on découvre qu'elle intéresse également le monde roturier et qu'il existe des généalogies bourgeoises très anciennes.
Car si l'on doit faire sa généalogie pour prouver sa noblesse, on la fait tout autant pour légitimer son pouvoir, pour défendre ses droits ou pour transmettre à ses enfants une part de la mémoire familiale. Entre fable et érudition, la généalogie appartient au genre historique et cependant le dépasse, comme enjeu de construction identitaire et de prestige social.
Quand et pourquoi a-t-on commencé à écrire des généalogies dans l'ancienne France, celle d'avant la Révolution ? Cet ouvrage propose au lecteur d'aujourd'hui, généalogiste amateur ou esprit curieux, un regard d'historien sur les généalogies anciennes et leurs auteurs à travers l'exploration de documents originaux. La généalogie prend naissance au Moyen Age en relation avec l'évolution des conceptions de la parenté mais aussi avec le développement d'une forme de culture savante fondée sur l'écrit.
Les textes à caractère généalogique revêtent très vite une multiplicité de formes, du simple feuillet manuscrit au livre imprimé, généalogies ascendantes ou descendantes, en ligne masculine ou féminine, sous formes discursives ou graphiques... La généalogie est, d'abord, une pratique nobiliaire, mais on découvre qu'elle intéresse également le monde roturier et qu'il existe des généalogies bourgeoises très anciennes.
Car si l'on doit faire sa généalogie pour prouver sa noblesse, on la fait tout autant pour légitimer son pouvoir, pour défendre ses droits ou pour transmettre à ses enfants une part de la mémoire familiale. Entre fable et érudition, la généalogie appartient au genre historique et cependant le dépasse, comme enjeu de construction identitaire et de prestige social.