Les enfants éblouis
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- Nombre de pages60
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.094 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-37491-087-1
- EAN9782374910871
- Date de parution08/11/2018
- CollectionLes indociles
- ÉditeurQuidam Editeur
Résumé
" La nuit assise à mes côtés, nous mangeons l'ombre ensemble. " Dans une chambre, la parole d'un homme traverse les heures d'une journée, de l'aube à la nuit. Entre passé et présent, les différentes époques d'une vie, le paysage intérieur de cet homme dessine un lieu d'existence, peut-être le dernier, dans lequel le réel s'ouvre. Il suffit de peu. Une douche. Un repas. La vision d'un jardin et d'un arbre à travers la fenêtre.
La visite d'une femme, une marche dans le couloir. Le flot des mots comme lieu ultime de vie. L'identité non pas comme un chemin vers le néant mais vers la plaque sensible d'un autre pan du réel. Avec la disparition possible de l'homme, une fois la nuit venue. Mais là où se pense la perte, un renversement advient : des enfants éblouis par la lumière de midi.
La visite d'une femme, une marche dans le couloir. Le flot des mots comme lieu ultime de vie. L'identité non pas comme un chemin vers le néant mais vers la plaque sensible d'un autre pan du réel. Avec la disparition possible de l'homme, une fois la nuit venue. Mais là où se pense la perte, un renversement advient : des enfants éblouis par la lumière de midi.
" La nuit assise à mes côtés, nous mangeons l'ombre ensemble. " Dans une chambre, la parole d'un homme traverse les heures d'une journée, de l'aube à la nuit. Entre passé et présent, les différentes époques d'une vie, le paysage intérieur de cet homme dessine un lieu d'existence, peut-être le dernier, dans lequel le réel s'ouvre. Il suffit de peu. Une douche. Un repas. La vision d'un jardin et d'un arbre à travers la fenêtre.
La visite d'une femme, une marche dans le couloir. Le flot des mots comme lieu ultime de vie. L'identité non pas comme un chemin vers le néant mais vers la plaque sensible d'un autre pan du réel. Avec la disparition possible de l'homme, une fois la nuit venue. Mais là où se pense la perte, un renversement advient : des enfants éblouis par la lumière de midi.
La visite d'une femme, une marche dans le couloir. Le flot des mots comme lieu ultime de vie. L'identité non pas comme un chemin vers le néant mais vers la plaque sensible d'un autre pan du réel. Avec la disparition possible de l'homme, une fois la nuit venue. Mais là où se pense la perte, un renversement advient : des enfants éblouis par la lumière de midi.