Les écritures de l'horreur en littératures africaines
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- Nombre de pages437
- PrésentationBroché
- Poids0.69 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,4 cm
- ISBN978-2-343-08104-5
- EAN9782343081045
- Date de parution01/03/2016
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dire, raconter, déclamer, jouer et conter l'horreur dans le texte africain, comment et pourquoi ? Telle est la problématique qui structure cet ouvrage. Il analyse ainsi le mode opératoire du motif de l'horreur dans le discours romanesque, poétique, théâtral, oral (conte) africain. Les contributions s'inscrivent de ce fait dans la transversalité, voire transdiscursivité. Il s'ensuit une polytonalité qui aide à saisir le motif horrifique dans sa multidimensionnalité littéraire et sa polysémie (valeurs et enjeux) à travers les analyses qui portent sur l'horreur de l'écriture et l'écriture de l'horreur dans le champ littéraire africain.
La première s'attarde sur le scripturaire, la scénographie. Il s'agit de la lecture horrifique qui émerge des dispositifs textuels que sont l'informe, la marge, le fragmentaire, l'excentricité, etc. La seconde aborde la thématique horrifique : guerre, violence, propos, éthopée, prosopographie, notamment. Ces deux modes du discours de l'horreur problématisent la figure du sujet postcolonial africain ainsi que celle de a l'intellectuel.
La première s'attarde sur le scripturaire, la scénographie. Il s'agit de la lecture horrifique qui émerge des dispositifs textuels que sont l'informe, la marge, le fragmentaire, l'excentricité, etc. La seconde aborde la thématique horrifique : guerre, violence, propos, éthopée, prosopographie, notamment. Ces deux modes du discours de l'horreur problématisent la figure du sujet postcolonial africain ainsi que celle de a l'intellectuel.
Dire, raconter, déclamer, jouer et conter l'horreur dans le texte africain, comment et pourquoi ? Telle est la problématique qui structure cet ouvrage. Il analyse ainsi le mode opératoire du motif de l'horreur dans le discours romanesque, poétique, théâtral, oral (conte) africain. Les contributions s'inscrivent de ce fait dans la transversalité, voire transdiscursivité. Il s'ensuit une polytonalité qui aide à saisir le motif horrifique dans sa multidimensionnalité littéraire et sa polysémie (valeurs et enjeux) à travers les analyses qui portent sur l'horreur de l'écriture et l'écriture de l'horreur dans le champ littéraire africain.
La première s'attarde sur le scripturaire, la scénographie. Il s'agit de la lecture horrifique qui émerge des dispositifs textuels que sont l'informe, la marge, le fragmentaire, l'excentricité, etc. La seconde aborde la thématique horrifique : guerre, violence, propos, éthopée, prosopographie, notamment. Ces deux modes du discours de l'horreur problématisent la figure du sujet postcolonial africain ainsi que celle de a l'intellectuel.
La première s'attarde sur le scripturaire, la scénographie. Il s'agit de la lecture horrifique qui émerge des dispositifs textuels que sont l'informe, la marge, le fragmentaire, l'excentricité, etc. La seconde aborde la thématique horrifique : guerre, violence, propos, éthopée, prosopographie, notamment. Ces deux modes du discours de l'horreur problématisent la figure du sujet postcolonial africain ainsi que celle de a l'intellectuel.